04192024Headline:

Gérard Depardieu dégomme le film d’Abel Ferrara dans lequel il incarnait DSK…

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Dans un entretien fleuve au «Point», Gérard Depardieu dégomme le film d’Abel Ferrara dans lequel il incarnait DSK…
Le film l’avait «même un peu dégoûté», lâchait-il en mai dernier dans une longue interview à Télérama, à propos de Welcome To New York, le film d’Abel Ferrara qui avait créé une bousculade et une ambiance surréaliste au dernier Festival de Cannes. Cinq mois plus tard, à l’occasion de la sortie de son livre Ca s’est fait comme ça (XO), autre entretien fleuve. Cette fois auprès du Point, et Depardieu est encore plus sévère.
L’histoire n’était pas «les trois partouzes au FMI»
«Non», il n’est pas content d’avoir tourné le film, «parce que Ferrara n’a pas compris que le récit de cette femme, l’histoire de Nafissatou Diallo, était plus important que les trois partouzes au FMI», lâche l’acteur.
Il ajoute: «De toute façon, aujourd’hui, tu ne peux pas allumer un écran sans voir une bite énorme qui sort. A croire que tout le monde est devenu peine-à-jouir.»
«On est libre ou pas de se faire soigner»
A-t-il des regrets par rapport à DSK, qui avait porté plainte en diffamation après le film? Il rétorque: «Et vous, aucun regret? Ce qu’a dit de lui la presse, ce qu’a fait de lui la presse?».
Il s’auto-cite en rappelant qu’il avait justifié ainsi sa participation au film: «Parce que je l’aime pas». «Mais ce qui est important, pour moi, ce n’est pas de l’aimer ou de ne pas l’aimer, c’est de le comprendre. Je n’ai pas envie de faire une caricature. J’ai envie de comprendre. En l’occurrence, une maladie, une pulsion. Après, on est libre ou pas de se faire soigner.»

20minutes.fr

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