La garde à vue du retraité français soupçonné d’avoir tué trois Kurdes et d’avoir blessé trois autres personnes à Paris vendredi a été prolongée samedi, a indiqué le parquet, annonçant que le mobile raciste avait été retenu par l’enquête. Les investigations portent désormais sur des faits d’assassinats, tentatives d’assassinat, violences avec arme et infractions à la législation sur les armes à caractère raciste.
« L’ajout de cette circonstance ne modifie pas la peine maximale encourue, qui demeure la réclusion criminelle à perpétuité », a précisé le parquet.