CÔTE D’IVOIRE / ROYAUME UNI: RÉVÉLATIONS INÉDITES SUR LES FAUX DIPLOMÉS DE LA RÉPUBLIQUE BANANIÈRE DE CÔTE D’IVOIRE.
[DOSSIER SPÉCIAL JANVIER 2015 DU FDRC & FDRC-MÉDIA.COM].
La communauté ivoirienne résidant au Royaume Uni vit une situation exceptionnelle depuis bientôt une décennie. Cette situation pourrissant l’interaction entre les différents membres de la communauté ou des groupes ethniques voire religieux, est la résultante directe de la politique politicienne ou du moins de la mauvaise interprétation faite de la politique sévissant en Côte D’Ivoire depuis bientôt une vingtaine d’années.
Il existe trois grands partis politiques issus de trois grands groupes ethniques ivoiriens, à savoir le Front Populaire Ivoirien, le FPI, (Leader-Fondateur : Laurent Gbagbo, du groupe ethnique les Krou), le PDCI-RDA (Leader : Aimé Henri Konan Bédié, du groupe ethnique les Akan) et le Rassemblement Des Républicains, le RDR, (Leader : Alassane Dramane Ouattara, du groupe ethnique Mandingue (regroupant tous les sous-groupes linguistiques du Nord de la Côte D’Ivoire ou de la sous-région).
Comme nous le soutenions dans notre dernière publication du mois de Décembre 2014, le bilan annuel des activités du FDRC, publié le 29 Décembre 2014 et nous citons :
[L’instabilité politique en Afrique est principalement due à une crise éducationnelle voire politique voire une absence de politique ambitieuse des leaders politiques ou chefs de partis politiques à expliquer le bien-fondé de la Démocratie, à équiper les militants et sympathisants à comprendre la Démocratie, à l’adopter et l’appliquer intégralement, sans aucun apport personnel ou apport d’ordre ethno-politique ou ethno-régional ou ethno-religieux.
Dès la chute du mur de Berlin en Novembre/Décembre 1989 et l’instauration des démocraties en Afrique, les leaders politiques eux-mêmes ne furent point prêts à l’accepter dans sa forme originelle ou du moins la forme originelle les empêchait d’accéder un jour à la tête de l’exécutif. Pour cela, la Démocratie gréco-romaine fut travestie afin de donner naissance à un semblant de Démocratie, communément appelée « La Démocratie A l’Africaine », consistant à promouvoir les groupes ethniques ou religieux les plus importants comme ceux qui auront l’unique charge de diriger le destin de nos pays. Ainsi, les candidats aux élections générales en Afrique, sont généralement et uniquement soutenus par leur propre groupe ethnique ou religieux ou leur région. Les autres groupes ethniques sont eux également appelés à soutenir les candidats issus de leurs propres groupes ethniques, religieux etc. Ainsi, les groupes ethniques ou religieux les plus dominants en termes numériques seront propulsés au sommet de l’appareil étatique et cela de façon permanente et à vie ou la présidence à vie.
Ceci est loin d’exprimer le choix civique des populations en général ou de la nation, car le Chef d’état dirige uniquement pour les intérêts de son parti politique, de sa région, de sa religion et de son groupe ethnique. Ceci entraine des frustrations internes, la marginalisation, l’exclusion et plus tard favorise des poches de résistances, de tensions, de conflits, des coups de force, des coups d’état, des rébellions et des guerres civiles.
En d’autres termes, la Démocratie, censée nous apporter plus de libertés et d’épanouissements, s’est transformée en un véritable système discriminatoire voire meurtrier pour nos propres populations africaines.
Les leaders politiques, loin de rectifier le tir en éduquant les militants et sympathisants, multiplient plutôt leurs efforts à les maintenir dans l’ignorance totale, l’illettrisme intellectuel afin de mieux les contrôler, manipuler, les instrumentaliser pour en faire soit du bétail électoral ou des bataillons pour leurs coups de force ou rébellions ou guerres civiles. Tel est le véritable portrait politique de nos états africains. La Démocratie n’est toujours pas effective !
La soit disant crise au sein du parti politique du Président Laurent Gbagbo, est une des résultantes de la démocratie à l’africaine, un système politique corrompu, truffé d’aspects conflictuels ou confligènes, favorisant toutes sortes de crises au sein de nos jeunes états aspirant à la démocratie et l’émergence.
La présence occidentale est beaucoup trop visible et permanente dans tous les aspects décisionnels des tenants africains, le financement des états, des institutions locales, régionales et même l’organisation continentale, l’UA, faisant de nos états ou certains états des prolongements des états occidentaux ou des protectorats.
Ainsi, l’ancienne métropole décide de l’identité de nos Chefs d’état selon leur volonté ou humeur, en violation flagrante des choix civiques des populations africaines elles-mêmes. Ces leaders véreux sont ceux-là même qui combattent et tentent d’éliminer leurs propres frères et sœurs pour l’unique satisfaction de l’ancienne métropole et pour leur propre survie politique ou leur maintien au pouvoir à vie. En échange du pouvoir à vie ou Présidence à vie, nos frères devenus des dictateurs et tyrans pour leurs propres frères, sœurs et populations, bradent tout, absolument tout, aux occidentaux, effritant gravement nos souverainetés africaines, affaiblissant gravement nos institutions et leurs leaders sans oublier leurs décisions, comme ce fut le cas en Côte D’Ivoire pendant la crise post-électorale de 2010.
En clair, nos états et nos institutions sont très faibles, parce que nos Chefs d’état sont fortifiés par l’occident et affaiblissant du coup les populations à travers le système éducatif, la presse ou les media de propagande et la présence plus que visible et nocive des bases militaires pour des opérations de répressions d’envergure. Tel est le véritable tableau de nos états ayant signé des Accords de Défense avec la France].
Au-delà même de l’interprétation politique, il faudra surtout retenir la promotion de la médiocrité en tout. Les postes administratifs seront pourvus par des individus sans aucun diplôme ou sans aucune expérience/expertise ou encore sans aucune maitrise de la langue de Molière, comme c’est le cas des Préfets de région, tous issus de la rébellion nordiste, tels Koné Messemba, Bin Laden et un bataillon d’analphabètes employés à la Douane, aux Impôts et au Trésor public.
Les dénominateurs communs de ces personnes sont, l’appartenance linguistique, régionale et ethnique.
Ce sont pour la plupart des anciens soldats ou rebelles, instrumentalisés à bloc, afin de hisser l’actuel Chef d’état ivoirien, le voltaïque Alassane Dramane Ouattara, au pouvoir. En retour, par gratitude, cet homme politique leur renvoie l’ascenseur, en les employant en violation flagrante des normes administratives, académiques et linguistiques.
La promotion des groupes ethniques au sein de l’administration et des forces armées, est l’une des résultantes de la mauvaise interprétation de la Démocratie, comme nous tentions de l’expliquer un peu plus haut.
De nos jours, la médiocrité a également atteint un certain nombre de personnes ou souvent abusivement considérés comme des résistants ou des patriotes ou des panafricanistes ou des souverainistes ou des nationalistes ou des afrocentristes.
Ce nouveau phénomène consiste à se créer une sorte de mythe académique et un quelconque poids politique au sein de la communauté, dans l’unique but de contourner la difficile sélection politique afin d’être retenus pour des postes électifs ou administratifs. Ces personnages peu éclairés, de véritables parasites politiques et sans réelle culture politique ou sans réelle conviction politique, sont légions tant au sein du régime ivoirien actuel et au sein de la résistance ivoirienne.
Ces personnages passent le clair de leur temps à se fabriquer des diplômes académiques exceptionnels sans oublier de faire suffisamment de bruit afin de se faire remarquer par les tenants du pouvoir.
Cette politique de séductions, leur principale activité au sein de la communauté, est souvent source des maux minant nos différents groupes ethniques ou religieux voire politiques. La diabolisation, les dénigrements et autres coups tordus, deviennent la routine pour les victimes politiques tant au sein de la Diaspora africaine qu’en Afrique. Ainsi, la division, la marginalisation, la promotion hégémonique d’un groupe ethnique ou d’une région ou d’un parti politique ou d’un leader politique, devient le véritable cancer rongeant de l’intérieur les frères et sœurs d’un même pays, idéologiquement opposés, communautairement séparés et prêts à en découdre afin de se faire accepter ou d’exister ou d’imposer leur vision politique.
Le phénomène des faux diplômés académiques ou des titres ronflants, fut l’œuvre des anciens rebelles reconvertis à la politique, tels l’actuel PAN (Président de l’Assemblée Nationale), Guillaume Kigbafori Soro, prétendant être un Politologue, selon les détails laissés sur son Curriculum Vitae, en prélude pour les élections internes au sein de l’hémicycle ivoirien. En réalité, cet individu sinistre et lugubre, ne passa jamais le cap de la Licence.
Comment est-il possible qu’il puisse être un Politologue sans avoir suivi des cours de Sciences Politiques et sans être le titulaire d’un diplôme pertinent ?
Au Royaume Uni également, bon nombre d’individus prétendent être des titulaires de Doctorat ou des enseignants, alors qu’ils n’ont aucun diplôme pertinent ou se sachant incapables de prouver au-delà de tout doute, leur compétence intellectuelle ou académique.
Un titulaire d’un PHD ou un Doctorat, est un individu capable de présenter sa thèse en forme de livre, afin d’expliquer dans les moindres détails sa position indépendante sur tel ou tel sujet.
L’actuel Chef d’état ivoirien, prétendant être le titulaire d’un PHD en Économie à l’Université de Pennsylvanie, aux Etats Unis d’Amérique, est incapable de présenter un seul manuscrit ou pamphlet de sa thèse ou encore incapable de traduire sa thèse en réalité pour le bien-être de la communauté ou de l’état dont il a la charge.
Le passage de cet individu à la tête du FMI (Directeur Afrique du FMI), pour le compte et le bénéfice des états africains et des états en voie de développement, tels les états de l’Amérique latine, comme le Venezuela, l’Argentine, le Brésil et bien d’autres, fut un passage plus que lamentable. Ces états de l’Amérique latine ont fini par se retirer des Programmes d’Ajustements Structurels (PAS) afin de développer leur propre politique économique, faisant d’eux des états en voie d’émergence.
Les pays africains sous la coupole de cet « expert africain des finances internationales », ont également suivi impuissants, la descente en enfer de leur propre économie et de leurs états respectifs, aux mains non expertes de cet individu, leur imposant une politique d’austérités, la réduction du train de vie des états, la réduction du personnel de la fonction publique et le remboursement exigé des dettes extérieures au détriment des investissements nécessaires pour relancer leurs économies sous perfusion. La RDC, la Côte D’Ivoire et bien d’autres états africains en firent tous les frais de l’incompétence notoire de cet « homme des finances », abusivement présenté comme la crème de la crème parmi les intellectuels et hommes/femmes des finances, issus du continent noir.
Pour le compte de la Côte D’Ivoire, entre 1989 et 1993, le sieur Alassane Dramane Ouattara a laissé en « héritage », la faramineuse somme de 6900 Milliards CFA. Il était uniquement censé redresser l’économie et injecter de nouveaux capitaux afin de remettre la Côte D’Ivoire sur les rails, suite à la récession des années 80.
De nos jours, cet incompétent notoire d’économe international, est à nouveau responsable de la dette extérieure de la Côte D’Ivoire, évaluée à 9000 Milliards CFA, en l’espace de 3 ans de pouvoir sans partage et suite à une campagne médiatique et propagandiste, dont l’objectif est de faire de la Côte D’Ivoire, un pays émergent avec un taux de croissance de 9.8%, en l’absence de monnaie et banque centrale locales et suite à une crise militaro-politique vieille de 20 ans. Impossible mais vrai ! L’invisible émergence ou pays énervant !
Les tenants du pouvoir ivoirien actuel, incapables de justifier leur prise de pouvoir, pouvoir obtenu grâce à l’intervention militaro-politique de la coalition franco-onusienne, en violation flagrante des normes et traités internationaux, en violation flagrante de la souveraineté d’un état membre de l’organisation universelle, l’ONU et en violation flagrante de l’expression civique des populations ivoiriennes elles-mêmes, expression civique, traduite par la décision du CCI (Conseil Constitutionnel Ivoirien / équivalent du CCF (Conseil Constitutionnel Français), en date du 4 Décembre 2010, tenants du pouvoir incapables de proposer des idées nouvelles ou ambitieuses ou encore de promouvoir les acquis démocratiques des années 90 ou encore incapables de proposer des projets de sociétés, lequel projets sont en réalité des fruits de leur propre invention intellectuelle ou de leur propre culture politique ou leur propre engagement à démontrer leurs intentions à briguer des postes électifs, selon les normes, les lois, règles contenues dans les textes de la Constitution ivoirienne de Juillet 2000, tenants du pouvoir incapables de démontrer des résidus intellectuels de leurs activités politiques, ont plutôt opté pour les raccourcis politiques ou la facilité politique ou la paresse politique ou la sédition (Publications incendiaires des quotidiens pro-Ouattara), la délation, les campagnes de dénigrements, de diabolisation (Création du caractère dictatorial/tyrannique du Président Laurent Gbagbo et son entourage), l’instrumentalisation des populations nordistes (Création de la Charte du Nord et de la fosse commune de Yopougon), créant plus de distractions et diversions afin de masquer leurs propres tares intellectuelles, inculture politique, amateurisme politique et finalement gagner la sympathie des franges de la société ivoirienne, se reconnaissant ou potentielles victimes d’une exclusion quelconque ou d’une frustration particulière ou personnelle ou collective, populations dites marginalisées et frustrées capables de les hisser au pouvoir sans réellement mettre en doute leurs compétences intellectuelles ou leur capacité à gérer les affaires de l’état ivoirien, en lieu et place des anciens tenants, jugés ou taxés « d’incompétents, de corrompus, de xénophobes, d’anti-français, de criminels voire de génocidaires…).
Le régime Ouattara s’est installé à la tête de l’état ivoirien, grâce aux bombes démocratiques franco-onusiennes, suite aux multiples tentatives du gouvernement français de déstabiliser voire renverser l’administration Gbagbo, jugée trop nationaliste ou comme la gauche française de l’époque, le Parti Socialiste (PS) de l’actuel Président français, tentait de justifier le complot français à l’endroit des autorités ivoiriennes, jugeant le Président Gbagbo de personne « infréquentable ».
L’installation du valet local, Alassane Dramane Ouattara ne fut jamais l’expression manifeste des populations ivoiriennes elles-mêmes comme tentent maladroitement de le faire (la coalition diabolique franco-rébellion nordiste ivoirienne, avec à sa tête, l’ancien Chef d’état français, la brute et tyran des Chefs d’état africains, le nain hongrois devenu citoyen français, Nicolas Sarkozy pour le compte de la métropole et du trio ivoirien, composé du voltaïque Alassane Dramane Ouattara pour le compte du RDR (Rassemblement Des Républicains), du désœuvré et inculte politique, devenu Chef politique de la rébellion nordiste, Soro Guillaume, patron du MPCI et du Sergent-Chef Ibrahim Coulibaly dit IB, pour le compte des troupes désertiques de l’armée régulière ivoirienne et les frustrés créés de toutes pièces suite à la campagne de diabolisation ou de dénigrements ou de la malicieuse propagande nordiste, individus devenus des soldats de fortune au sein de bataillons paramilitaires, abusivement baptisés, Forces Armées des Forces Nouvelles, (FAFN), dans l’unique but de militairement renverser les autorités ivoiriennes, démocratiquement élues en Octobre 2000.
En clair, la volonté de renverser le Président Gbagbo ne fut jamais la volonté manifeste des ivoiriens eux-mêmes, même si certains ivoiriens tels Aimé Henri Konan Bédié, leader du PDCI-RDA, ont vivement souhaité. Ces ivoiriens souhaitèrent la chute de leur propre frère et Président de la République de Côte D’Ivoire, afin de satisfaire les desideratas de la France.
L’administration Gbagbo fut uniquement renversée par la France et pour les intérêts de la France, état occidental confronté à une crise financière aigue au sein de l’Union Européenne depuis 2008, et état occidental, incapable de boucler son propre budget annuel, de juguler la crise financière affectant les multinationales françaises, incapables de s’acquitter de ses devoirs envers l’Union en termes de cotisations et autres prérogatives financières afin de maintenir l’Euro et sortir certains états membres de la misère, tels l’Italie, la France elle-même, l’Espagne, le Portugal, la Grèce et bien d’autres états croupissant sous le poids énorme des dettes extérieures, sans oublier le manque criard de nouvelles sources d’investissements ou de capitaux capables de relancer leurs différentes économies sous perfusion.
La chute du pouvoir Gbagbo répondait uniquement à la survie de l’ancienne métropole, la France, retenant plus de 50% des recettes des produits de tous genres au trésor français. Le refus poli du Président Laurent Gbagbo de « coopérer » avec la métropole en termes d’ouverture de marchés ou la politique d’appels d’offres, réduisant considérablement l’hégémonie française en Côte D’ivoire et facilitant la pénétration de nouveaux investisseurs tels l’Iran, la Chine et bien d’autres, ce qui lui valut le commentaire ô combien historiquement stupide du Chef d’état français actuel, François Hollande, s’exprimant en ces termes : « Laurent Gbagbo est infréquentable ! ».
En termes d’«infréquentable », peut-on soutenir que le sieur Ouattara est fréquentable, lui qui bat tous les records mondiaux en termes de violations flagrantes des droits de l’homme, la plus large population d’otages politiques, la plus large population d’exilés politiques, la plus large population de déplacés internes, la plus large population de victimes de guerre, la plus large population de citoyens ivoiriens arbitrairement brimés, humiliés, abusés, maltraités, arrêtés, torturés, sodomisés, violés, volés, braqués, agressés, assassinés…sans que cela ne puisse émouvoir la France des droits de l’homme ou la Communauté internationale, prétendant être le gendarme du monde et garant du strict respect des droits de l’homme à travers le monde, en conformité avec le Chapitre VII de la Charte de l’ONU ?
Pourquoi un tel silence ? Pourquoi un tel immobilisme ou manque de courage politique ou de volonté politique afin de diplomatiquement sanctionner ou isoler cette horde de voyous et génocidaires venus du Nord de la Côte D’Ivoire ? Qu’est-ce qui coince réellement ? Autant de questions trottant dans nos petites cervelles de « primates » ou de « nègres » ou « d’indigènes » ! A quand la Justice naturelle et internationale pour toutes les victimes pro-Gbagbo ? Là, se trouve la véritable question et celle-ci est spécifiquement adressée à l’ex-président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, les Affidés et à l’ivrogne de Konan Bédié, du PDCI-RDA.
En clair, passée la distraction, les anciens rebelles avaient désormais l’opportunité de prouver à leurs militants et sympathisants, leurs qualités ou compétences dans tel ou tel domaine, démontrer un tant soit peu leur habilite à diriger l’état ivoirien mieux que l’ancienne administration. Pour cela de faux diplômes et Curriculum Vitæ furent manufacturés à souhait ou à desseins afin de donner de la contenance aux soit disant intellectuels au sein de la branche politique de la rébellion nordiste à savoir le RDR et le MPCI.
[LES FAUX DIPLOMÉS DE LA RÉPUBLIQUE OU DU RÉGIME OUATTARA] :
KANDIA KAMISSOKO CAMARA :
« Titulaire d’une licence d’anglais de l’université d’Abidjan, et d’un certificat études avancées en éducation de l’université de Lancaster, Kandia Camara a enseigné l’anglais dans deux collèges et un lycée entre 1983 et 2002.
Kandia Camara est également une ancienne joueuse professionnelle de handball, deux fois championne de Côte d’Ivoire (en 1974 et 1980) et championne d’Afrique en 1981. »
Source: Wikipédia.
Veuillez taper « Kandia Kamissoko Camara » dans le box de recherches de Lancaster University, et vous aurez ceci : |
No Results
http://www.lancaster.ac.uk/search/?q=kandia+kamissoko+camara
Cette dame, politiquement très zélée, siège au gouvernement Ouattara, en qualité de Ministre de l’Education nationale. Elle est uniquement titulaire d’un certificat d’aptitude à l’Université de Lancaster, au Royaume Uni ( ?). Elle n’est point titulaire d’une Licence ou d’un BA Hon d’Anglais, comme abusivement décrit dans sa propre biographie.
Aussi, cette dame est incapable de s’exprimer en Français, langue officielle de la Côte D’Ivoire.
Comment peut-elle s’exprimer en Anglais si elle est incapable de traduire cette nouvelle langue en une langue maitrisée par elle, à savoir le Bambara ou le Dioula ?
Les services de traductions au Royaume Uni ne couvrent point les langues indigènes à savoir le Bambara ou le Dioula, sauf certaines langues écrites et populaires comme le Swahili.
Comment est-il possible d’obtenir une Licence dans une langue qu’on ne maitrise ni la syntaxe ou le vocabulaire ?
Pour s’exprimer dans une langue étrangère, il vous faut absolument une base de données ou un vocabulaire pour les équivalents. Or, Dame Camara est incapable de faire la différence entre « Capture » et « Capturation », lui valant son propre lexique, Kandiarousse !
GUILLAUME KIGBAFORI SORO
“ Le nouveau Fléau de l’Afrique c’est que tout le monde veut devenir PRESIDENT. ”
Publié le Mardi 06 Mai 2014 à 12:39:26
« BIOGRAPHIE DE GUILLAUME KIGBAFORI SORO
Né le 08 mai 1972 à Koplé (sous-préfecture de Diawala), dans le département de Ferkessédougou, Guillaume Kigbafori Soro est le 06ème président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire. Père de 04 enfants, il est marié à Tagro Sylvie, qui partage sa vie depuis ses années de lutte estudiantine.
Très tôt engagé politiquement, il dirige la puissante Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), de 1995 à 1998. Par ses talents de tribun hors pair et une grande intelligence politique, il en devient le leader incontesté et le dirigeant le plus éminent de l’histoire de ce mouvement estudiantin. Il a d’ailleurs été élu l’Homme de l’année en 1997? Par les lecteurs du quotidien pro-gouvernemental « Ivoir-Soir ». Il est régulièrement envoyé en prison à cette époque après des manifestations. Il est même déclaré « Prisonnier d’opinion » en 1995 par Amnesty International. Il exécute en tout six séjours carcéraux suite à des soulèvements en milieu estudiantin initiés par le mouvement qu’il dirigeait.
Après son départ de la Fesci, il se rend en France où il poursuit ses études. Ainsi, il fait des études d’Anglais à l’Institut Sully-Morland de l’université de Paris 7 Jussieu et de Sciences Politiques à l’université de Paris 8 Saint Dénis.
En décembre 1999, avec le FIEF, Forum international des étudiants francophones qu’il fonde, Guillaume Soro est membre de l’alliance des forces vives qui tentent de convaincre le général Guéi de ne pas s’incruster au pouvoir, après son coup d’état réussi contre le président Bédié. Il s’oppose frontalement au général Guéi et s’allie à Alassane Ouattara et au RDR lorsque le général Guéi prend la décision d’exclure ce dernier de l’élection présidentielle d’octobre 2000.
Ainsi, le 27 octobre 2000, au moment où Laurent Gbagbo prêtait serment à l’issue d’une présidentielle contestée, des blindés encerclaient la résidence d’Alassane Ouattara et ouvraient le feu sur les éléments de sa sécurité.
A l’intérieur, se trouvaient Guillaume Soro et le carré des derniers fidèles, décidés à défendre la résidence et ses occupants, jusqu’au bout. Témoignage de son courage et de sa loyauté envers le couple Ouattara, Soro est blessé au bras gauche pendant les combats et saigne abondamment. C’est Mme Dominique Ouattara elle-même, qui se charge de le soigner et lui fait un pansement qui arrête l’hémorragie.
En décembre 2000, il est colistier de Mme Henriette Dagri-Diabaté, Secrétaire général du RDR, pour les élections législatives à Abidjan-Port-Bouët. Bien que la Commission électorale nationale indépendante ait déclaré M. Ouattara éligible au poste de député, la Cour Suprême rejette sa candidature, entrainant de facto le boycott des législatives par le RDR. Les manifestations organisées par le RDR pour réclamer la réhabilitation de son président et sa participation aux élections, sont réprimées dans le sang.
Guillaume Kigbafori Soro choisit alors d’aller en exil au Burkina Faso. De 2000 à 2002, il vit au Pays des Hommes Intègres, sous la protection du président Blaise Compaoré. Ceci explique la profonde amitié qui lie les deux personnalités.
En septembre 2002, à la faveur d’une tentative de coup d’état qui se mue très vite en rébellion armée, Guillaume Soro apparait à la tête du Mouvement Patriotique de Côte d’Ivoire. Il en est le Secrétaire général. Puis en 2003, il devient Secrétaire général des Forces nouvelles de Côte d’Ivoire, qui regroupe les trois mouvements rebelles (MPCI, MPIGO, MJP) qui contrôlent le Centre, le Nord et l’Ouest du pays.
En 2003, après l’accord de Linas Marcoussis (France), Guillaume Soro fait son entrée au gouvernement dit de réconciliation nationale. Il y restera malgré quelques remous, changements de gouvernement et changements de postes jusqu’en mars 2007.
Ainsi :
-De mars 2003 à décembre 2005, il est Ministre d’Etat, ministre de la Communication.
-De décembre 2005 à mars 2007, il est Ministre d’Etat, ministre chargé de la Reconstruction et de la Réinsertion.
En 2007, à la faveur de l’Accord politique de Ouagadougou, signé par les Forces Nouvelles et Laurent Gbagbo, Guillaume Kigbafori Soro est nommé Premier ministre de la république de Côte d’Ivoire le 29 mars, avec pour charge principale la sortie de crise et l’organisation des élections. Il conduira le gouvernement et l’ensemble des forces politiques ivoiriennes au premier tour de l’élection présidentielle du 30 octobre 2010. De l’avis général, cette élection fut la plus transparente et la plus ouverte de l’histoire de la Côte d’Ivoire. Elle fut également l’une des plus chères et l’une des plus surveillées au monde. Pour le second tour, il réussit à faire accepter un débat face-à-face entre les deux candidats retenus : Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. Une première en Afrique noire francophone !
À l’issue du second tour de l’élection présidentielle en novembre 2010, il reconnaît la victoire d’Alassane Ouattara désigné par les urnes et s’oppose ainsi à la ré-investiture de Laurent Gbagbo comme président.
Il remet donc le 4 décembre 2010 sa démission et celle de son gouvernement à Ouattara avant d’être reconduit à son poste par celui-ci. A sa fonction ancienne de Premier ministre, le nouveau Président ajoute celle, nouvelle, de Ministre de la Défense.
En tant que Premier Ministre, Ministre de la Défense, Guillaume Kigbafori Soro coordonne avec une efficacité réelle les actions civiles et militaires qui finissent par aboutir à la chute du régime de Laurent Gbagbo et à l’arrestation de ce dernier.
Lors des élections législatives, auxquelles il prend part, Guillaume Soro est élu député de Ferkessédougou-Commune le 11 décembre 2011 avec 99,06% des voix. Dès la proclamation définitive des résultats des élections législatives par la Commission électorale indépendante (CEI), il choisit de quitter son poste de Premier ministre, après avoir passé neuf années au sein de l’Exécutif. Le 08 mars 2012, il remet sa démission au président de la République.
Après sa démission de la Primature, il est élu au Perchoir le 12 mars 2012 avec 94.77% des voix. Il devient ainsi le Président de la Deuxième législature de la Deuxième République.
Au cours de sa carrière politique, Guillaume Kigbafori Soro aura échappé à six tentatives d’assassinat. Les deux plus marquantes sont certainement le guet-apens dans lequel il est tombé dans l’enceinte de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) le 27 juin 2003 ainsi que l’attentat du 29 juin 2009 contre le Fokker 100 qui le transporte.
A la RTI, sous le prétexte de l’inviter à faire une visite des locaux, la Direction Générale d’alors le fait encercler à l’infirmerie de la maison de la télé par 300 jeunes patriotes armés. Ils s’apprêtaient à incendier le bâtiment avec lui, quand il en est extrait de justesse.
A Bouaké, lors de l’atterrissage de l’avion dans lequel il se trouvait, plusieurs roquettes et des balles de mitrailleuses lourdes ont été tirées sur lui. Quatre membres de son équipe décèdent et plusieurs autres sont grièvement blessés.
Son engagement et sa constance dans son combat pour la démocratie lui ont valu plusieurs décorations nationale et étrangère. Ainsi il fut élevé à la dignité de Grand Officier de l’Ordre National de Côte d’Ivoire (2011) et fait Grand-Croix de l’Ordre National du Mérite du Sénégal (2013).
Il est également auteur d’un livre: « Pourquoi je suis devenu un rebelle », paru en 2005 aux Editions Hachette.
Pour Guillaume Kigbafori Soro, le destin des Hommes n’appartient qu’à Dieu. Et la sagesse consiste à se frayer un chemin vers son destin et d’en accepter les fortunes et les vicissitudes.
Auteur du livre « Pourquoi je suis devenu un rebelle », paru aux Editions Hachette ».
Source: http://www.guillaumesoro.ci/biographie/biographie-de-guillaume-kigbafori-soro_1500_1399379966.html
Il n’existe point d’Institut Sully-Morland, Université de Paris VII. C’est une pure invention !
Il existe plutôt l’UFR Etudes Anglophones Université Paris Diderot, Paris VII. (Metro St Paul/ Sully-Morland/Bastille), 10 Rue Charles V, 75004 Paris.#
Également, l’UFR Études Anglophones ne dispense point de cours de Sciences Politiques en Anglais, mais plutôt en Français.
Il est souvent possible de voir ou d’entendre des riverains désigner l’Université Paris Diderot, en termes d’Université Charles V en guise de reconnaissance pour ce personnage historique. Cependant, il n’existe point d’Institut Sully-Morland, comme suggéré par le PAN Soro Guillaume.
[Les moins connus ou collaborateurs « pro-Gbagbo », soutenant le régime liberticide et génocidaire de Ouattara].
University College London
University in London Borough of Camden, England
UCL-LONDON’S GLOBAL UNIVERSITY
GOWER STREET, LONDON WC1E 6BT.
0207 679 2000.
Allez-y sur Google et tapez UCL. Allez surtout sur UCL HOME.
Vous verrez un box pour les recherches, près de « STAFF ».
Veuillez taper le nom de votre choix ou de l’étudiant diplômé et vous aurez instantanément les résultats, comme celui du bas.
“We’re sorry, but no results have been found for PATRICE KOUTE in Websites.”
Allez-y sur Google et tapez UCL. Allez surtout sur UCL HOME.
Vous verrez un box pour les recherches, près de « STAFF ».
Veuillez taper le nom de votre choix ou de l’étudiant diplômé et vous aurez instantanément les résultats, comme celui du bas.
“We’re sorry, but no results have been found for OBOU KOUTE in Websites”.
http://search2.ucl.ac.uk/s/search.html?query=OBOU+KOUTE&collection=website-meta&profile=_website&tab=websites&sumbit=Go
[CHOSES CURIEUSES/INSOLITES] :
Veuillez inspecter la photo de la cérémonie de délivrance de diplômes ou « Graduation Ceremony », vous verrez les premières anomalies ou la tentative de décevoir les yeux moins entrainés des uns et des autres.
Chaque photo de « Graduation » porte le nom de l’école ou de l’Université au bas de la même photo. Il y est aussi inscrit l’année de la « Graduation » et de la Promotion.
Sur la photo de notre sujet, le bas de la photo fut malicieusement coupé afin de ne point montrer l’année, le nom de l’école ou de l’Université. La photo est aussi dans ce même format au domicile du concerne.
Aussi, il n’existe point d’autres photos du sujet avec des membres de sa propre famille ou des amis ou des amis d’école afin de justifier la cérémonie ou la prise de photo en tenue de Diplômés.
La cérémonie de délivrance de diplômes fut pour Décembre 2012, selon les commentaires des uns et des autres sur les réseaux sociaux et sur le compte Facebook du concerné : Voir Patrice Kouté ou Soutenons Patrice Kouté, sur FACEBOOK.
Finalement, pour un individu prétendant être « un diplômé et un enseignant », il ne fait point cas de l’Université britannique dans laquelle il aurait obtenu son diplôme. Au contraire, le sujet mentionne plutôt l’Université d’Abidjan-Cocody et du Lycée Classique d’Abidjan. Encore là, nos sources sont incapables de confirmer le passage de l’individu, en tout cas avec le nom que nous savons de lui !
Nous étions encore le Vice-Président du COJEP-UK, lorsque la photo fut publiée. Un tel évènement se célèbre absolument et ne peut passer inaperçu.
Cet évènement ne fut jamais célébré par le concerné ou le diplômé ou encore par l’ensemble des membres ou militants du COJEP-UK. Finalement, nous n’avions jamais eu l’opportunité de voir le parchemin ou le diplôme lui-même afin de confirmer ou infirmer la thèse véhiculée par le sujet en question.
Nous osons croire que l’individu pourra justifier son identité et la cérémonie aux autorités britanniques compétentes à savoir UKBA, la Police, UCL et son actuel employeur, dans la région de Surrey ou Croydon.
“Donc, c’est pour nous envoyer des photos de Gbapêh que Kouté a vendu son âme à l’ennemi?
Koné Ladio Issa Sankara Soutenons Patrice Koute
« Il faut d’abord demander à Patrice Kouté de faire le bilan de sa mission. On doit savoir ce qu’elle a apporté au général en termes d’avancées pour sa libération. Il faut qu’on sache comment ça s’est passé. Sur quelle base on doit le soutenir ? Comment demander au Bureau National de le réhabiliter si on n’a pas les conclusions de ses démarches ? ».
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Le camarade-Président, Nick De Bessou fut longtemps la victime d’une campagne de diabolisation et de dénigrements dans l’unique but de l’intimider voire le forcer au silence permanent. Certaines personnes voilant réellement leur passé lugubre ou leurs faux diplômes, souhaitent ardemment maintenir ses mensonges et contre-vérités comme des paroles d’évangiles dans l’unique objectif de se faire nommer aux postes administratifs ou d’occuper des postes électifs.
Ces tristes personnages au sein de nos communautés, passent le clair de leur temps à nuire gravement à d’autres membres de la communauté, membres de la communauté considérés comme des futures stars ou de la nouvelle génération de leaders politiques. Cette nouvelle génération de leaders politiques, sont des individus ayant obtenu des diplômes soit en Afrique ou à la fois en Afrique et en Occident. Ces derniers sont malicieusement attaqués ou persécutés par ces arrivistes et affairistes politiques ou ces leaders autoproclamés au sein de nos communautés ou se servant des membres de la communauté afin de se frayer un chemin, lequel chemin menant aux postes administratifs et/ou électifs, souvent sans aucun effort intellectuel, académique voire communautaire. Ces personnages usent souvent de déceptions, manipulations, instrumentalisation, contre-vérités, la délation, la sédition, les dénigrements, la diabolisation, les coups tordus, les raccourcis politiques, les rébellions, les coups d’état, les guerres civiles ou la répression meurtrière afin de se hisser au sommet de l’état ou de la communauté ou afin de maintenir la psychose au sein des populations ou maintenir certains membres de la communauté des otages politiques, souvent victimes de chantages et autres intimidations.
En occident, ces mêmes parvenus ou parasites politiques, tentent de se faire passer pour des personnalités au-dessus de tous reproches, des prétendues victimes d’intimidations ou d’harassements (sic !) ou victimes d’une campagne de diabolisation ou de dénigrements tentant de salir leur réputation (sic !), pour finalement instrumentaliser à la fois la Police ou la Gendarmerie et la Justice afin de maintenir certains individus, menaçant de les exposer pour des fraudes. Ce fut exactement le cas du camarade Nick de Bessou, le Samedi 21 Décembre 2014, victime d’une fausse accusation pour intimidations et harassements de la part d’un certain Patrice Kouté, prétendant être « la victime ».
En l’espace de quelques minutes, il s’était chargé de véhiculer la fausse rumeur à tous ses partenaires tapis dans l’ombre et certains présents dans la salle de conférence, salle retenue pour l’occasion en vue de lancer une campagne d’envergures pour la libération du Ministre Charles Blé Goudé, otage politique de la communauté internationale, injustement retenu et détenu à la Haye, en l’absence de preuves tangibles et accablantes et suite à sa brillante sortie du 2 Octobre 2014, démontant pièces par pièces les arguments et accusations du Bureau du Procureur et de la Représentante des Victimes, certains membres de la communauté comme une certaine Virginie Djédjé alias Virginie de Monaco et un certain Madé Gueu (soit disant Directeur de Cabinet du Ministre Charles Blé Goudé), ne pouvaient contenir leur immense joie, en esquissant des pas de danse en guise de victoire sur leur « ennemi juré Nick De Bessou ».
D’autres par contre, comme Anatole Ibo firent expressément le déplacement afin de voir en direct l’arrestation du siècle. Tous, sans exception furent très déçus de voir ou d’entendre la nouvelle selon laquelle, le camarade Nick De Bessou était libre de tous mouvements en l’espace de quelques minutes et finalement en pleine publication d’un communiqué démentant les folles rumeurs sur notre incarcération.
Cependant, pour satisfaire le délit d’intimidations et d’harassements, il y a un certain nombre de choses à satisfaire. Qui est la victime ? Est-elle vulnérable ? Y a-t-il l’implication de violence ou usage d’armes de toutes sortes ? L’arrestation de l’individu accusé, peut-elle être bénéfique à la communauté ? Que gagnerait-il, le Procureur du Royaume Uni (Crown Prosecution Service or CPS), de faire de cet individu un cas particulier ? La liste des critères à satisfaire n’est pas exhaustive !
Pour les individus connaissant les deux personnes soit de vue ou personnellement, pourront sans ambages confirmer la thèse du camarade Nick De Bessou, victime d’une longue campagne de diabolisation et de dénigrements de la part du concerné mentionné plus haut.
En termes de violence ou possibilités d’exercer une forme de violence sur une potentielle victime, l’on peut aisément confirmer l’imposante corpulence du sieur Kouté, haut de son 1,95 m et 120 Kilo (Kouté), comparé à 1,76 m et 80 Kilo (De Bessou). Qui des deux personnages est capable d’intimider ou d’exercer suffisamment de violence sur son adversaire politique et qui gagnerait à ce que violence existe ?
L’un, (De Bessou) est très politiquement actif et très populaire et l’autre a toujours évolué sous la coupole du premier, profité de son travail intellectuel, prenant souvent ses travaux et autres comme ses propres propriétés privées. Il est également celui qui « fabriqua » le personnage politique, Patrice Kouté, en lui apprenant à tenir des discours, en écrivant ses discours et déclarations politiques et lui apprenant la différence entre les différents courants politiques ou idéologiques, sans oublier l’individu le soutenant financièrement et « jouant » le rôle de Chauffeur-Conseiller, afin de lui donner de la contenance au sein de la communauté ou en face de ses détracteurs politiques.
Voilà, un individu si amorphe depuis l’arrestation de son leader politique, le Ministre Charles Blé Goudé, incapable de communiquer en temps réel ou d’organiser des marches, des sit-in, des conférences de presse ou des déclarations d’envergure afin de faciliter la libération du leader de la Galaxie Patriotique, individu réentendant être la victime d’une campagne de dénigrements tentant de « salir son image », (quelle image au juste ?) ou (quelle réputation au juste ?).
En termes d’image ou de réputation, l’on doit être au-dessus de tous reproches ou un membre actif de la communauté, posant des actes communautaires ou caritatifs ou éducationnels ou politiques, pour le bien-être des membres de la communauté. Or, ces personnages cités plus haut sont les véritables sources de division, de marginalisation,, de diabolisation, de dénigrements, car incapables de tenir des arguments convaincants ou contradictoires ou incapables de tenir tête aux adversaires politiques, souvent des personnes d’une certaine maturité politique, d’une certaine culture politique, d’une véritable conviction politique, en clair leur alter-ego ou le contraire de leur propre statut ou standing au sein de la communauté. Ces derniers seront constamment persécutés et leurs vies privées malicieusement exposées afin de les salir, les humilier et provoquer en eux, une certaine gêne ou psychose de prendre part aux activités socio-politiques de la communauté.
Les faits sont très têtus et disponibles pour tous, afin d’être interprétés selon les différentes sensibilités des uns et des autres.
Etant le « Représentant- Europe » du Ministre Charles Blé Goudé à l’époque et bénéficiant des largesses du leader de la Galaxie Patriotique, comme expliqué dans notre communication du Samedi 13 Décembre 2014 intitule : [CÔTE D’IVOIRE : RÉVÉLATIONS INÉDITES D’UN PROCHE DU MINISTRE CHARLES BLÉ GOUDÉ CONCERNANT LA MAUVAISE FOI ET L…](http://nickdebessouinfo.over-blog.com/2014/12/cote-d-ivoire-revelations-inedites-d-un-proche-du-ministre-charles-ble-goude-concernant-la-mauvaise-foi-et-la-traitrise-de-certains…), cet individu devint paranoïaque et menaçant à peine de façon voilée, tous « ses détracteurs politiques » sans oublier ses propres camarades ou représentants du mouvement à travers l’Europe des 28.
Ceci fut la campagne orchestrée par le sieur Kouté et alliés depuis le retour du Ministre Charles Blé Goudé en Côte D’Ivoire, suite à l’agression rebelle de Septembre 2002, après un bref séjour à l’Université de Manchester.
Craignant certainement d’être évincé de son poste de Représentant en cas de découverte de la supercherie, car le véritable travail consistant à recruter, mobiliser, financer et installer les autres représentations du COJEP fut l’initiative et le fruit du Vice-Président de l’époque, Nick De Bessou, l’ex camarade Patrice Kouté multiplia sans aucune provocation de notre part, une campagne de dénigrements et de diabolisation à l’endroit de son propre bienfaiteur, ami, camarade et frère, issu du même canton.
Cet individu mal intentionné, aigri, envieux et jaloux, soutiendra entre autres, être la personne attitrée pour notre bien-être mental (Next of kin), car soutenant également des contre-vérités selon lesquelles le camarade Nick De Bessou souffrait d’une maladie psychique (laquelle au juste ?), provoquée par l’abus de stupéfiants (lesquels au juste ?), car il soutiendra la thèse selon laquelle son frère et camarade, Nick De Bessou étant marié à une britannique d’origine jamaïcaine, faisant de la récupération des préjugés et autres sur ces nationaux, comme étant des grands consommateurs de drogues de tous genres. Les questions trottinant encore dans nos têtes de « drogués et malades mentaux » sont les suivantes :
Qui fut le consultant médical chargé du traitement psychique du camarade Nick De Bessou ? Quels stupéfiants furent les sources de sa maladie psychique ? A-t-il au moins, les preuves de ses allégations mensongères et nuisibles ? N’est-ce pas cela salir la réputation d’un individu et au-delà maintenir une campagne d’harassement, car la campagne de diabolisation et de dénigrements s’étend de la période de 2002 à nos jours ? Est-il mieux loti en termes de victimisation ? Peut-il la main sur le cœur nier les faits soit en public ou privé ou devant un juge compétent, dans la mesure où il existe tout un large bataillon de témoins-clés ou oculaires capables de l’identifier clairement comme étant la véritable brute ou le véritable responsable d’une tentative de salir l’image et la réputation d’une personne innocente, de surcroit un frère et son bienfaiteur, pour uniquement des gains monétaires, prestige et célébrité ?
En termes de dégâts commis par cette personne, l’on ne peut citer ici tous les maux et problèmes crées par elle. Cependant, nous nous attèlerons à fournir les grandes lignes à savoir la séparation d’avec mon épouse de 20 ans, la conception erronée des membres de la communauté nous considérant à tort ou à travers, comme « un malade mental et un drogué », les multiples tentatives d’éliminations physiques par empoisonnement et/ou par d’autres voies peu recommandables, l’implication directe de ce dernier auprès de ses alliés du RDR, au sein du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche Scientifique, afin d’effacer notre passage des archives de l’Université d’Abidjan-Cocody de 1990 à 1993, afin que le camarade Nick De Bessou ne puisse s’inscrire dans une université britannique pour le compte de sa soutenance de Doctorat en Droit International. La résultante directe de cette action nocive, força ces universités britanniques antérieurement fréquentées à réclamer le dépôt des diplômes obtenus et livrés depuis plus d’une décennie afin de les nullifier. Un dossier particulier sur le sujet est en passe d’être élaboré afin de provoquer un procès en bonne et due forme. Ceci explique en grande partie, l’absence de références faites aux universités britanniques dans notre biographie, disponible sur Google.
Les déboires du camarade Nick De Bessou ne s’arrêtent point-là, même si certains ne peuvent être attribués aux personnages cités plus haut, comme la tentative d’enlèvement au Ghana, courant Juillet 2014, les attaques cyber ou électroniques de tous nos sites internet y compris comptes Facebook et Twitter, la tentative de dissolution de notre compagnie (Octobre/Novembre 2014), le gel de nos avoirs en banques (Octobre/Novembre/Décembre 2014 et Janvier 2015), l’intimidation et les coups de fils silencieux afin de créer une sorte de psychose ou paranoïa en nous et enfin imposer un strict régime de « fermes-la ou tu verras ! » ou la censure et la violation flagrante de toutes nos libertés, particulièrement la liberté de mouvements (Incarcération ou détention arbitraire sous de fallacieux prétextes, comme ce fut le cas le 21 Décembre 2014). En dépit de ce qui précède, nous demeurons sereins et imperturbables.
Une citation de la Zougloutique se résume en ces termes : « L’on ne lance des pierres qu’aux fruits mûrs ! ».
En d’autres termes, tout ceci démontre notre grande importance aux yeux de nos détracteurs politiques et mêmes aux yeux de « nos amis », prétendant être à nos côtés, mais réellement et secrètement priant pour notre chute.
Si la thèse précédente est avérée, alors pourquoi ne pas embrasser cette organisation et lui accorder un statut particulier en termes ou en qualité d’organisation consultative pour la restauration de la dignité et fierté de l’africain, de la libération totale de nos états africains, de l’application stricte des acquis démocratiques, du respect et de l’application strict des droits de l’homme africain, de l’émergence totale de notre continent du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest en passant par le centre.
Nous sommes tous impliqués dans une sorte de résistances ou de luttes selon nos agendas cachés. Certains y sont pour des postes administratifs ou électifs, pour la fortune, le prestige et la célébrité. D’autres par contre, comme nous autres au FDRC, nous sommes résolument engagés dans la résistance afin d’améliorer les conditions de vie de toutes nos populations africaines, pour les indépendances vraies de tous nos états africains et pour l’émergence totale de tous nos états africains. Une fois, cet objectif atteint, nous aviserons en termes de choix ou acceptation d’une nomination ou participation aux postes électifs.
Il est inconcevable et inacceptable que nos états africains, vaste territoire riche en tout, soit très pauvres par états et par habitants et de surcroit la vache à lait pour le reste des autres nations au détriment même de nos propres populations, populations africaines vivant le martyr et la servitude depuis l’annonce des indépendances africaines des années 60.
55 ans après les soit disant « indépendances africaines », il est grand temps de marquer un arrêt, d’évaluer ce qui a été fait ou pas et de proposer de nouvelles stratégies afin de sortir de l’impasse ou de la cogérance de nos états. Telle est notre mission et non pour dénigrer ou diaboliser certains individus, imbus de leur petite personnalité sans intérêts et dignité africaine, passant le clair de leur temps à se mystifier ou à mystifier les populations.
Un véritable intellectuel est l’individu qui séduit les populations avec un programme de gouvernement ou un manifeste ou des projets de sociétés. Un tel individu prend le temps de connaitre ses futurs employeurs-administrés afin de collecter leurs désirs ou ambitions ou aspirations. Les individus au pouvoir en Côte D’Ivoire par contre, instrumentalisèrent les populations et leurs propres parents afin de se hisser au pouvoir. Au finish, ils sont encore et toujours incapables de réduire l’inflation vertigineuse, sécuriser des emplois pour tous, éradiquer la division et la marginalisation, incapables d’éradiquer le népotisme, le tribalisme et le favoritisme, incapables de soigner les populations, incapables de leur garantir un logement décent, incapables de leur apporter la protection des biens et des personnes, incapables de créer des créer des industries et autres secteurs d’activités capables de réduire le chômage, incapables de payer les agents et fonctionnaires de l’état, incapables d’équilibrer son propre budget annuel sans l’apport des pays africains et de la France, incapables de garantir l’excellence en termes de qualité pour l’éducation de nos jeunes frères, sœurs et enfants, incapables de construire des universités, hôpitaux et des postes de police par régions, incapables de construire des réseaux routiers, ferroviaires, aéroportuaires et maritimes afin de faciliter le ralliement des villes du pays et des pays frères ou limitrophes, incapables de créer sa propre monnaie et sa propre banque centrale, encore désespérément et honteusement attachés ou arrimés à une monnaie coloniale franco-africaine, le CFA…
Que peut-on espérer d’un médiocre sinon l’expression manifeste de la médiocrité dans toutes ses formes ?
Observez de près la qualité de vie des ivoiriens du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest et honnêtement dites-nous, si elles sont mieux loties ou traitées que ne le furent sous l’ancienne administration Gbagbo ? N’est-il pas vrai que les choses vont de mal en pis, d’où le slogan en Bambara « Gbagbo Kafissa ! » ou « Gbagbo était encore mieux ! » ?
Les diplômes ne font point l’individu !
L’individu se fait ou se construit à partir des acquis et autres enseignements reçus dans ces établissements et dans la vie ou l’école de la vie (expériences ou expertise).
Les connaissances seront par la suite mises à la disposition de la communauté afin que celle-ci profite au maximum de l’expertise du membre de la communauté.
Un intellectuel est cette personne qui traduit ses connaissances acquises en profits et autres pour le compte de la communauté. Un Diplômé, comme ces derniers prétendent l’être, sont en réalité des perroquets diplômés, incapables de s’exprimer d’eux-mêmes ou incapables de s’exprimer sans faire des références à certains auteurs et autres sources, comme pour se donner de la contenance ou pour passer pour des personnes cultivées ou des érudits.
Jésus-Christ ne fut jamais titulaire d’un Doctorat ou d’un quelconque diplôme, cependant, les grands prêtres et autres rabbins l’appelaient « Maitre ou Leader ou Docteur… ! ». Jésus Christ est encore plus célèbre que tous ces génies et autres multi-diplômés des grandes universités et grandes écoles prestigieuses de notre univers.
En réalité, ces soit disant diplômés au sein de nos communautés ne sont que l’ombre d’eux-mêmes car incapables de produire un travail intellectuel d’eux-mêmes et s’accrochent sans aucune honte bue au travail intellectuel des autres, comme c’est tristement le cas d’un certain Pascal Affi N’Guessan, ex-président du FPI ou d’un certain Patrice Kouté, ex Représentant du COJEP-UK ou au Royaume Uni, manœuvrant honteusement afin de se faire réhabiliter au sein du COJEP, après ses déboires avec les instances disciplinaires du mouvement en Côte D’Ivoire, courant Février/Mars 2014.
De tels personnages iront à toutes sortes d’extrémisme afin d’éliminer physiquement leurs adversaires, afin de politiquement survivre, car une compétition saine et ouverte ne peut être remportée en toutes circonstances, car des individus très faibles, mentalement instables, envieux, jaloux, aigris, manœuvrant souvent à contre-courant de leurs propres mouvements ou partis politiques afin de passer pour des héros, comme ce fut le cas de son voyage controversé de Février 2014, sous de fallacieux prétextes de « libérer le Ministre Charles Blé Goudé ».
La Côte D’Ivoire est loin de sortir de l’ornière avec son bataillon de faux diplômés ou de faux démocrates ou de faux gendarmes ou de faux avocats des droits de l’homme. Pour si peu et pour des avantages sociaux et monétaires, l’on sacrifie l’avenir de tout un pays y compris menaçant la vie et la quiétude de nos propres populations. De tels comportements d’un autre siècle du temps de Jésus-Christ, est à combattre avec la dernière énergie.
Tristement, ce sont ces gens-là, des personnes corrompues jusqu’à la moelle épinière, comme Pascal Affi N’Guessan, sa clique d’Ali baba et 40 malfaiteurs politiques, que nombreux camarades du parti, prétendant être des démocrates ou des intellectuels, soutiennent aveuglement, comme l’unique personne capable de nous sortir de la misère ou de nous apporter la stabilité politique ou l’émergence.
Un individu incapable de justifier son propre statut de prisonnier dit politique en liberté provisoire, un individu manifestant pour le retour immédiat des colons et du protectorat français, 55 ans après les indépendances, comment est-il possible qu’un tel individu puisse tenir tête à la métropole ?
La position intenable et inacceptable d’Affi N’Guessan à la tête du parti, en pareilles circonstances, aurait pu interpeller les uns et les autres de l’urgence de le démettre par tous les moyens.
Le problème des candidatures au sein du parti, est une affaire interne au parti et non une affaire nationale, pouvant provoquer ou impliquer l’intervention de la Justice ivoirienne, en rejetant la candidature du Président Laurent Gbagbo.
La lettre du Président Laurent Gbagbo fut certifiée par un notaire hollandais, et cela est suffisant pour le CC (Comité de Contrôle), ayant validé sa candidature.
Souhaiter le retrait de la candidature d’un autre adversaire, est le signe manifeste de la faiblesse d’arguments et de présence politique ou de popularité au sein du parti et par-dessus tout, l’expression d’une psychose permanente en prélude de la tenue d’un Congrès extraordinaire.
En clair, Pascal Affi N’Guessan écarte malicieusement la candidature du Président Laurent Gbagbo afin d’être reconduit comme l’unique candidat et représentant du parti aux élections d’Octobre 2015. Par conséquent, la décision du Juge est nulle et non avenue car la plainte déposée par le sieur Affi N’Guessan ne porte point sur un point de loi mais plutôt sur de l’arbitraire ou pour des gains électoralistes.
Notre humble opinion est de mettre un terme à cette saga politique n’honorant point le parti encore moins son fondateur en otage aux mains de la communauté internationale.
Le sieur Pascal Affi N’Guessan est ou prétend être le Président d’un parti, à cause de la base ou des militants. Il revient désormais à ces derniers de donner de la voix hors- congrès extraordinaire afin de le destituer selon les textes en vigueur.
La base est le véritable pilier du parti et le véritable congrès du parti !
Le Président du parti, milite lui aussi au sein d’une section !
Par conséquent, l’ensemble des sections et des fédérations peuvent par voie écrite démettre l’indélicat président, si le quorum est atteint, évitant du coup la tenue d’un congrès en bonne et due forme et des dépenses inutiles. A bon entendeur, salut !
PHOTOS D’ILLUSTRATION :
- ALASSANE DRAMANE OUATTARA, CHEF D’ÉTAT IVOIRIEN.
2/3&4. SORO KIGBAFORI GUILLAUME, PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE DE CÔTE D’IVOIRE.
5. HAMED BAKAYOKO, MINISTRE DE L’INTÉRIEUR.
6. KANDIA KAMISSOKO CAMARA, MINISTRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE.
7. PATRICE KOUTÉ, « ENSEIGNANT ».
8. PATRICE KOUTÉ EN COMPAGNIE DE NARCISSE OU ANTHONY OU THONY KRAGBÉ« DIPLÔMÉ EN SCIENCES POLITIQUES ».
9. THONY KRAGBÉ EN COMPAGNIE D’ALAIN TOUSSAINT ET Me HABIBA.
10. JEAN-CLAUDE GRÉBÉ, « DOCTEUR EN LETTRES MODERNES ».
LA LISTE N’EST PAS EXHAUSTIVE !
EXCELLENTE ANNEE 2015 ET PAIX DANS LE MONDE ENTIER SANS OUBLIER VOS FOYERS !
ENSEMBLE NOUS SOMMES FORTS POUR LA GLOIRE DE NOTRE CRÉATEUR !
ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE ! [NAITRE, GRANDIR, VIVRE, LUTTER, ÉMERGER ET MOURIR ENSEMBLE] ! ».
TEAM G.O.D THE LIGHT!
FAIT A LONDRES LE 5 JANVIER 2015.
NICK DE BESSOU.
Juriste & Anthropologue Politique (Enseignant-Chercheur).
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N.B : LE COMPTE TWITTER DU CAMARADE NICK DE BESSOU A DÉSORMAIS CHANGÉ. VEUILLEZ DONC LUI ENVOYER VOS INVITATIONS ET AUTRES DÈS QUE POSSIBLE.