Le Président de la République, Alassane OUATTARA, a procédé, ce jeudi 28 octobre 2021, à l’inauguration du Centre sportif, culturel et des TIC ivoiro-coréen Alassane OUATTARA en présence de Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères, Mme Kandia_Camara. Au cours de cette même journée, le Président du front populaire ivoirien ( FPI ) à été reçu en audience au palais présidentiel, une rencontre qui fait couler de l’encre et de la salive. Au lendemain de cette illustre cérémonie, et de cette rencontre des deux hommes politiques, Fernand Dédeh a adressé une épître à Barthelemy Zouzoua Inabo.
À Barthelemy Zouzoua Inabo: “On l’appelle Me ODANE dans le milieu du Tae-kwondo ou BCD. Il est aujourd’hui un homme comblé. Il quitte la tête de la fédération ivoirienne de tae-Kwondo, le 30 octobre 2021, après 12 ans d’exercice, avec un bilan qui parle. Organisation professionnelle de la discipline, médailles olympiques et maintenant, le projet du centre de Sport, culture et TIC conduit à terme. Ton Camarade a inauguré l’édifice qui porte son nom ce jeudi 28 octobre 2021.
Impossible de lui arracher un mot. Tout le monde veut poser avec lui, pour la postérité. « Laissez-moi boire au mois un verre de champagne. », dit-il, large sourire aux lèvres pour tenter de s’échapper. Il transpire à grosses gouttes dans la salle de réception du Centre inauguré quelques minutes plus tôt. Preuve que la climatisation n’est pas suffisamment au top. Les luminaires pas encore installés. Les finitions en cours. « Je suis un homme comblé. Le Président de la République m’a confié un projet, je suis arrivé à la fin du projet. Je suis un homme heureux, en tant que membre de son vivier de fonctionnaires. Ce projet-là était le plus difficile. Il fallait faire le grand écart entre le Foncier rural et ce projet qui porte son nom. J’ai eu le stress. Aujourd’hui, un grand jour pour moi. ».
Le centre se Sport, de la Culture et ses TIC est le fruit de la coopération ivoiro-coréenne. Soixante ans que les deux pays cheminent ensemble. Ton Camarade s’est dit heureux que cet édifice dédié aux jeunes et au futur, porte son nom. « Je vous en remercie sincèrement ». Il a salué Me Kim, le père du Tae-kwondo ivoirien. C’est lui qui introduit la discipline en Côte d’Ivoire 53 ans plus tôt.
« L’enfant d’Attecoubé » ne pouvait pas manquer une si belle occasion de faire l’atalaku de son patron. « « Vous êtes pour les Ivoiriens aujourd’hui, ce que fut Felix Houphouët-Boigny hier, un bâtisseur, un visionnaire. Sous votre direction, la Côte d’Ivoire a retrouvé ses lettres de noblesses et la Côte d’Ivoire rayonne dans le monde.». Don de la République de Corée. Coût total, 6,5 milliards. Partie coréenne, 5,2 milliards FCFA. Contre-partie ivoirienne, 1,3 milliards FCFA. Ton Camarade annoncé un cadre institutionnel et juridique pour la gestion de ce centre, placé sous la tutelle du ministère des Sports.
Nous étions a l’inauguration de la nouvelle infrastructure sportive quand cette vidéo virale des filles de l’institut national ivoirien pour la promotion des aveugles a commencé à circuler sur les réseaux sociaux. Déchirant. Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale « Maitré-Maitré » et la Secrétaire d’Etat en charge de la protection sociale, « La Montagnarde » ont aussitôt pris les dispositions pour rassurer les élèves, les formateurs et les parents. Prompte réaction à saluer.
Nous savions que ton Camarade, aussitôt parti du centre ivoiro-coréen, avait une audience avec le Lion du Moronou. La rencontre a eu lieu. Une chose est claire: ton Camarade est maître du jeu politique en Côte d’Ivoire. Il gère tactiquement et techniquement, « son
Opposition » et « ses Opposants ». Tout le monde attend de lui, le geste utile, pour booster la réconciliation nationale. Même ceux qui ne peuvent pas faire la réconciliation dans leurs propres familles, parlent de réconciliation avec ton Camarade. Dis-lui de prendre les points. Ce sont des bénédictions pour faire avancer le pays. Le tout est de rentrer dans l’histoire, la tête haute. Agissons chacun, dans son domaine et au regard de ses responsabilités, pour demain…”
Sapel