L’information est de La Lettre du Continent dans sa dernière édition de ce 8 janvier 2020. L’État français a profité du dernier séjour d’Emmanuel Macron en Côte-d’Ivoire pour signer un accord additionnel visant «à clarifier le statut juridique des installations militaires françaises» situées à quelques encablures de l’aéroport international d’Abidjan-Port-Bouët.
Paris est donc désormais «propriétaire foncier» du périmètre accueillant le camp militaire.
Dans le Protocol additionnel, l’État de Côte-d’Ivoire renonce aussi à la construction de l’échangeur annoncé en face des installations militaires françaises. L’échangeur en projet devait être financé par l’Agence japonaise de coopération internationale