Renzo Ulivieri, président de l’Association italienne des entraîneurs de football, aura été la cible de provocations de Special One.
Les récents commentaires de José Mourinho après la défaite de l’AS Roma face à l’Inter ont déjà mérité une réponse.
Special One a pointé du doigt Renzo Ulivieri, président de l’Association italienne des entraîneurs de football, après les critiques de l’Italien selon lesquelles l’entraîneur avait pris un micro-cravate pour le match afin de se défendre.
«Je suis également heureux d’être attaqué par quelqu’un qui a reçu une suspension de trois ans pour avoir parié sur le football», a déclaré Mourinho à la fin du match, ayant déjà reçu la réponse.
«Il y a quelques semaines, Mourinho a fait signe à ses supporters, qui ont attaqué l’entraîneur de la Sampdoria [Dejan Stanković]. J’ai signalé ce geste comme un geste important.
Pour ma part, je n’ai rien contre Mourinho, Dieu nous en préserve… à l’instar de ses propos, signifiait créer un environnement encore pire que ce qui existe actuellement», a-t-il commencé par déclarer dans des déclarations à Rai Radio 1.
Après avoir attaqué l’entraîneur de l’AS Roma, le réalisateur a décidé de laisser de bonnes impressions sur le Portugais.
«J’ai fait une déclaration douce, pour clarifier les choses. Je ne le connais pas personnellement, mais j’ai posé des questions sur lui à d’anciens joueurs, comme Materazzi et Cambiasso. Ils m’ont parlé de manière exceptionnelle, ils ont de bons souvenirs», a-t-il ajouté.
Ulivieri avait déjà commenté l’affaire via Facebook.
«Premièrement : la démocratie reste toujours en Italie, soit dit en passant. Pour le poste de président de l’AIAC, un poste qui n’est pas rémunéré, nous sommes élus par les entraîneurs eux-mêmes et non par indication d’en haut. (…) Mourinho, je suis tout à fait d’accord avec vos conclusions. Nous sommes faits de choses différentes, mais je ne suis pas content», a-t-il écrit.