04202024Headline:

Un fils de Sorro 7ans, atteint de la maladie de l’hémophilie (saignements ininterrompus)

soro enfant

MALEFIQUE : Un fils de Sorro paie les crimes de sang de son père

Cet ancien pensionnaire du petit séminaire de Katiola, Sorro Guillaume, était sensé retenir ce commandement de Dieu « TU NE TUERAS POINT ». Cela aurait pu lui éviter cette malédiction jetée sur lui, et qui a malheureusement touché l’un de ses enfants âgé de 7 ans. Sa progéniture est atteinte de l’hémophilie congénitale, une maladie du sang qui se traduit par des saignements ininterrompus, altère assez sévèrement la qualité de vie des malades. Les saignements ont lieu le plus souvent à l’intérieur des articulations (hémarthrose) et des muscles suite à des traumatismes, engendrant de fortes douleurs chez les malades. La répétition de ces saignements finit par abîmer les surfaces osseuses, provoquant une arthropathie hémophilique invalidante.

MALEFIQUE : Un fils de Sorro paie les crimes de sang de son père
Cet ancien pensionnaire du petit séminaire de Katiola, Sorro Guillaume, était sensé retenir ce commandement de Dieu « TU NE TUERAS POINT ». Cela aurait pu lui éviter cette malédiction jetée sur lui, et qui a malheureusement touché l’un de ses enfants âgé de 7 ans. Sa progéniture est atteinte de l’hémophilie congénitale, une maladie du sang qui se traduit par des saignements ininterrompus, altère assez sévèrement la qualité de vie des malades. Les saignements ont lieu le plus souvent à l’intérieur des articulations (hémarthrose) et des muscles suite à des traumatismes, engendrant de fortes douleurs chez les malades. La répétition de ces saignements finit par abîmer les surfaces osseuses, provoquant une arthropathie hémophilique invalidante.Vu le volet critique de l’hémophilie, cette maladie rare, qui touche moins d’une personne sur 2 000, nous nous posons la question de savoir pourquoi la loi divine n’a pas épargné un destin douloureux à ce petit Sorro. Lequel fils, qui eut la malchance de naitre d’un père génocidaire maudit par ses crimes de sang.
Est-ce réellement Dieu qui a infligé ce châtiment lourd à porter ? Si oui. Alors nous pourrions dire qu’une telle sanction vise une repentance sincère de Sorro, confessant tous ses crimes de sang. Et après chercher à quémander le pardon aux parents des milliers de ses victimes innocentes.
Si cette sanction n’est pas de Dieu, alors nous révélons que ce sort maléfique (l’hémophilie de son fils) a été lancé pendant les derniers soupirs de ses victimes égorgées et vidées de leur sang.

Selon les médecins, l’hémophilie est une maladie qui touche très rarement la population. Par conséquent, nous sommes curieux de savoir pourquoi le fils chéri de Sorro, né en 2006 pendant la rébellion de son père, a pu contracter une maladie de sang, qui se traduit par des saignements ininterrompus.
D’aucuns dirons qu‘elle est héréditaire. Et que cet enfant l’aurait eue par les gènes de l’un de ses parents, c’est-à-dire le biais du couple adultérin Sorro et sa dulcinée burkinabé Sy Kadidia. Penser ainsi pourrait être plausible pour le commun des mortels.

Mais, les appelés spirituels qui savent décrypter les signes et messages des lois divines, savent que cette maladie en question est un châtiment. Pourquoi ? Pour que le Héros des crimes, Sorro Guillaumes, soit hanté par tous les atroces meurtres commis par sa rébellion. Ainsi, chaque fois que le gamin souffrira ou sera interné dans un hôpital à cause de l’hémophilie (saignements ininterrompus), son père, auteur du célèbre livre « Pourquoi je suis devenu rebelle », se rappellera le sang coulé des ivoiriens égorgés, des femmes enceintes éventrées… Et surtout de ce gendarme égorgé comme un bouc.

Aussi, autant sa rébellion a fait que les ivoiriens n’ont plus une vie normale, autant l’hémophilie fait que son fils n’a pas une vie normale. C’est ainsi le salaire du péché criminel !

Je ne me réjouis pas de la souffrance du petit, je voudrais seulement révéler à quoi s’exposent tous ceux qui s’en orgueils de tous leurs crimes perpétrés.

Sorro Guillaume a fièrement assumé la paternité de la rébellion qui a endeuillé le peuple ivoirien. L’une des raisons pour laquelle Dieu assume la responsabilité de ce sort maléfique lancé sur lui, et qui frappe son fils bienaimé né pendant sa rébellion. Lisons ce passage biblique qui suit, pour comprendre pourquoi la malédiction, avant d’atteindre Sorro lui-même, a touché son fils.

« Car Moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu exigent qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième où la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements : -Tu ne tueras point –Tu ne commettras point d’adultère –Tu ne déroberas point… »
-Dieu n’a-t-il pas bien dit, Tu ne tueras point, Tu ne commettras point d’adultère, Tu ne déroberas point.
Et pourtant Sorro, cet ancien pensionnaire du petit séminaire de Korhogo, a lâchement tué des hommes, des femmes, des jeunes et des enfants.

Il a commis l’adultère, délaissant sa femme Tagro Sylvie, tout le long de sa rébellion, pour faire un enfant avec une burkinabé.
Il a dérobé l’argent de l’Etat ivoirien, cabriolant la BCEAO de Bouaké pour financer sa rébellion.
Tout est maintenant lucide dans notre tête quant à comprendre pourquoi Dieu a frappé cet enfant tant aimé de Sorro.

Si ce génocidaire tient à la guérison totale de son fils, il doit salir ses vêtements, se repentir, se trainer à terre en confessant sincèrement tous ses crimes commis, demander publiquement pardon aux parents de tous les victimes de sa rébellion. Et cela pourrait trouver la faveur de Dieu, pour que son enfant trouve la santé.

Dans le cas contraire, s’il refuse de faire sa cure de repentance, alors son gamin portera malheureusement sur lui toute la souffrance, la peine, les pleurs, la rancœur des parents de ses victimes qui réclament justice et réparation. Car l’on ne peut pas être fier de ses crimes de sang, et demander à Dieu d’épargner son fils aimé d’un sort maléfique.
Pour nous, Dieu a frappé juste. Si cela n’est pas votre avis, prenez donc connaissance de ce témoignage touchant de ce rescapé.

Rapport Amnesty International en date du 27 février 2003

« Ce massacre s’est déroulé en plusieurs phases. Le 6 octobre au soir, des hommes armés sont entrés à trois reprises dans la petite prison militaire de Bouaké et ont abattu à bout portant une cinquantaine de personnes. Les survivants sont restés deux jours avec les blessés et les cadavres en
décomposition sans recevoir de nourriture. Certains ont été contraints de transporter les cadavres et de les enterrer dans des fosses collectives et une dizaine d’entre eux ont très vraisemblablement été tués sur les lieux mêmes du charnier après qu’ils eurent enterré leurs camarades. »

En effet “Trois mitraillages vont avoir lieu entre 20 heures et 22 heures. Le premier est exécuté par un dozo, chasseur de brousse traditionnel, qui tire une rafale de kalachnikov sur les hommes assis devant lui dans la courette. Le deuxième a lieu une demi-heure plus tard, toujours à l’aveuglette depuis la porte.
« Je me suis caché dans une des cellules du fond. […] J’ai entendu des enfants qui criaient “Nous ne sommes pas gendarmes, ne nous tuez pas ! ” » Raconte un rescapé. L’auteur du troisième mitraillage enjambe morts et blessés pour « arroser » les survivants dans la cellule de gauche, au fond de la prison, celle occupée que par des gendarmes.

Les rescapés vont passer deux jours sans nourriture, avec les cadavres en putréfaction, avant que la porte ne se rouvre. Un homme du MPCI leur commande alors d’aller enterrer les corps dans des fosses communes creusées près du quartier de Dar es-Salaam. Les locaux sont nettoyés des traces de sang. Le lendemain, 9 octobre, quatre autres survivants sont chargés d’ensevelir les morts de la nuit. « Ils ont choisi les plus costauds, Séry Sogor, Doua Gbongue, Brou Koffi Raymond et Obo Boni, pour emmener les cadavres. Ils ont aussi emmené trois blessés sous prétexte qu’ils n’avaient pas de médicaments. Aucun d’eux n’est revenu », relate un témoin…

 afrik53

 

OKIPI MADIBA

What Next?

Recent Articles