04252024Headline:

Un mari surprend sa femme avec un ministre de Ali Bongo sur son lit conjugal-une violente bagarre éclate, voici le vainqueur

Alain Claude Bilé BI NZE, Ministre Gabonais pris en flagrant délit sur le lit conjugal de sa collaboratrice. Il menace de tuer le mari pour les avoir surpris.

Le ministre de la communication d Ali Bongo au Gabon pris en flagrant délit avec sa collaboratrice sur le lit conjugal de celle ci par son mari le BeninoisNR.Kpatchavi qui pour ces faits a quitté précipitamment le Gabon il y a 48 heures pour menaces de mort.
Voici la lettre écrite au président Ali Bongo, par le mari, ce jour.


Gabon :
La lettre ouverte de monsieur Kpatchavi
KPATCHAVI Noel Hiverto Cotonou, le 06 décembre 2016
Administrateur de Sociétés

Lettre ouverte à son Excellence Monsieur le Président de la République du Gabon
Son Excellence Ali Bongo Ondimba
Excellence Monsieur le Président,
Je viens très respectueusement porter à votre connaissance le comportement de votre collaborateur, ministre, porte parole du Gouvernement, Monsieur Alain Claude Bilé BI NZE ; à l’encontre de ma personne et de ma famille.
Les faits sont les suivants :
Le dimanche 04 décembre 2016 vers 19 heures, je rentrais chez moi à Okala carrière à Libreville quand, à ma grande surprise, j’ai vu Monsieur Alain Claude Bilé BI NZE dans une position inconfortable avec mon épouse, Madame Rose OGOUEBANDJA KPATCHAVI, sa collaboratrice au ministère ; dans ma chambre à coucher.

Par respect pour votre autorité, vous voudriez bien me permettre de vous épargner des détails. Toujours est-il que, surpris, j’ai demandé au Ministre ce qu’il cherchait, à moitié découvert, chez moi avec mon épouse. Aussitôt, une violente altercation s’est déclenchée entre nous deux. Ensuite, il appela au secours son garde de corps.

Ce dernier entra et me menace de son arme devant mes enfants d’à peine 5 ans. N étant pas préparé à cette éventualité, j’ai dû fuir mon propre domicile pourchassé que j’étais par le garde du corps armé. Je me suis alors rendu à l’Ambassade du Bénin près le Gabon pour y trouver protection. Dans la matinée du lundi, j’ai dû partir précipitamment du Gabon pour le Bénin.

Excellence Monsieur le Président de la République, mon épouse et moi sommes mariés légalement et religieusement à Paris 16ème (France) depuis le 07 Juillet 2007 et avons eu trois enfants. C’est depuis sa nomination au poste de Conseiller technique au digital et aux nouveaux médias au ministère de la Communication que le Ministre a commencé son harcèlement qui a fini par payer.

J’avais des soupçons depuis des mois. C’est donc pour me convaincre des faits que j’ai simulé un voyage alors même que j’étais sur le territoire gabonais. D’où ma chance de réussir à les appréhender.
Excellence Monsieur le Président de la République, le monde entier connaît votre attachement aux valeurs républicaines, à la démocratie et surtout à la famille. Face à cette situation qui m’embarrasse au plus haut point, surtout que j’ai été menacé devant mes enfants et dans ma propre maison, j’ai décidé de confier cette affaire à la justice.

J’implore votre autorité et votre sagesse légendaire de bien vouloir aider à la manifestation de la vérité. Car un ministre en fonction sous nos tropiques, dans la plupart des Etats africains, est trop influent pour laisser les coudées franches à la justice, pour la manifestation de la vérité. J’aurais souhaité cette lettre confidentielle mais votre collaborateur me disait qu’il a les moyens de me faire regretter de l’avoir surpris avec ma propre femme.

J’ai craint donc que ces tentacules interceptent tout courrier provenant de moi. Vous m’excuserez donc pour le caractère public donné à cette lettre. C’est juste pour me rassurer qu’elle vous parviendra d’une manière ou d’une autre.

Conscient, de votre amour pour la famille, pour les enfants gabonais, des différentes actions de votre chère épouse Madame Sylvia Bongo Ondimba pour unir ce qui est épars dans la famille ; je suis convaincu que justice me sera rendue, et par conséquent à mes très chers enfants horrifiés dans ce drame.

Dans l’espoir que mon message a atteint votre cœur de papa, de défenseur des droits de l’homme, de gardien des intérêts de la veuve et de l’orphelin, je suis de nouveau convaincu que Monsieur Alain Claude Bilé BI NZE pourra répondre librement de ses actes devant la justice.
Signé
Noël Hiverto KPATCHAVI

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