Depuis qu’Ahmed Saïd Djaffar, le vice-président d’Azali Assoumani, s’est opposé à la tenue du référendum constitutionnel, les hostilités sont ouvertes entre les deux hommes : le président lui a coupé le téléphone et repris son véhicule de fonction.
Entre Azali Assoumani, le président, et Ahmed Saïd Djaffar, son vice-président, les hostilités sont ouvertes depuis que, le 17 juin, ce dernier s’est dit opposé à la tenue du référendum constitutionnel prévu le 29 juillet.
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