Le 24ème anniversaire de l’accession du Roi Mohammed VI au Trône, qui sera célébré le 30 juillet, est l’occasion une fois de plus de rappeler la forte symbiose entre les Marocains et le Trône Alaouite. 

Lors de son premier discours du Trône, le Roi Mohammed VI avait fait part de sa détermination « à poursuivre, avec la grâce de Dieu, l’œuvre de développement » pour le bien des Marocains dans toutes les catégories sociales et particulièrement les démunies, « que Nous entourons de Notre sollicitude et de Notre affection ».

Un engagement royal, qui au fil des années du règne du Souverain, ne s’est départi de la voie promise et qui n’a eu de cesse de se réaffirmer à travers les actions et initiatives qui garantissent à toutes les catégories de la société leur droit à une vie digne et qui confortent la place du Royaume dans le concert des Nations.

Ce 24ème anniversaire et sans aucun doute, l’occasion de se remémorer les multiples réalisations engrangées par le Royaume sous le leadership clairvoyant du Souverain et de s’arrêter sur les différents chantiers initiés par le Roi Mohammed VI et les réformes majeures qui ont favorisé des transformations profondes et structurelles dans les domaines: Economie, santé, éducation, logement, justice, transport, culture…, bref, les réformes politiques initiées par le Roi tendent à soutenir le processus démocratique et construire l’État de droit, à travers la modernisation du Maroc.

Au crédit du Royaume ces deux dernières décennies, l’économie, incontestablement. Le Maroc est devenu une puissance financière et bancaire qui irrigue désormais presque toute l’Afrique. L’Etat a opté pour une libéralisation raisonnable dont bénéficie une classe moyenne de plus en plus forte, en dépit de la crise Covid dernièrement et ses impacts que le pays a su surmonter efficacement, au demeurant

Sous le Règne de Mohammed VI, le Royaume s’est ouvert aux investissements étrangers, et est devenu le premier constructeur automobile du continent. Mais l’industrie marocaine ne se limite pas qu’à l’automobile. Elle est compétitive au niveau d’autres écosystèmes à l’instar de l’aéronautique, des chimies et parachimies, de l’agroalimentaire, de la maroquinerie et de l’habillement…  L’objectif est on ne plus clair : Doper la croissance marocaine.

A cet égard, il ne fait aucun doute pour le Royaume que l’avenir économique et social du pays se joue par la création de valeurs ajoutées et par le développement durable. Il est certain que le Maroc d’aujourd’hui, est bien différent du Maroc de 1999. Aussi ces dernières années, les projets publics structurants et créateurs d’emplois, inspirés par le Souverain se sont multipliés aux quatre coins du pays.

Tanger Med est une fierté nationale et le chantier du nouveau port en eaux profondes Dakhla Atlantique qui lui emboite le pas, est l’un des plus grands chantiers jamais lancés au Maroc. Ce projet d’envergure permettra de dynamiser l’activité économique dans les provinces du Sud. Le nouveau port de Nador West Med n’est pas en reste.

Pour illustrer un peu le développement et le progrès du Royaume, il y a de cela un peu plus d’une vingtaine d’années, on ne comptait qu’une centaine de kilomètres d’autoroute au Maroc. Aujourd’hui tout le Royaume est desservi (autoroute et voie express) et nous en sommes aux triplement des axes Tit Mellil-Berrechid et Guercif-Nador, nouvelle zone industrielle Casa City Shoes, tandis que, le TGV Tanger-Casablanca accueille en millions ses passagers. L’ONCF ayant investi plus de 1,6 milliard de DH pour l’acquisition du matériel roulant en 2020.

L’année 2021 a connu également le lancement des travaux de construction de 5 grands barrages dans les régions de Marrakech-Safi, de Casablanca-Settat, de Béni Mellal-Khénifra, de Souss Massa et de l’Oriental. Ce chantier royal du domaine hydrique dont l’autoroute de l’eau (raccordement des bassins hydriques du Sebou et du Bouregreg) opérationnelle dès cet été, s’inscrit dans le cadre du programme national pour l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation.

Ce méga-chantier, est le premier de son genre en Afrique, mais en matière de génie civil, d’infrastructures, de ressources humaines, l’expertise du Maroc sous le règne de Mohammed VI n’est plus à démontrer.

Les visiteurs réguliers du Maroc n’ont de cesse de voir depuis plus d’une décennie les villes se transformer et se moderniser. S’il ne fallait citer qu’un projet architectural emblématique, comment occulter la tour Mohammed VI qui domine désormais la vallée du Bouregreg entre Rabat et Salé ? Le chantier doit se terminer cette année et avec 250 mètres de hauteur, ce sera la deuxième plus haute tour d’Afrique, offrant une surface de 9 hectares répartis sur 55 étages.

S’ils s’en souviennent… les visiteurs réguliers et amoureux du Maroc de Tanger à Lagouira, diront combien depuis plus d’une décennie, ces villes se sont transformées et modernisées. Côté architectural emblématique, on ne saurait taire la tour Mohammed VI qui domine déjà la vallée du Bouregreg. Ce chantier en finition imminente et lors de l’exercice en cours, est haut de 250 mètres. C’est la deuxième plus haute tour bâtie d’Afrique (55 étages), et s’offre une superficie de 9 hectares.

On ne saurait non plus passer outre la mise en place en novembre 2019 par le souverain de la commission spéciale sur modèle de développement (CSMD). C’est une feuille systémique permettant au pays d’assurer un développement en le portant au niveau supérieur d’ici à l’échéance 2035.

Sur le plan diplomatique le Royaume mène une politique de contacts et d’échanges tous azimuts, notamment pour conforter la reconnaissance internationale définitive de la marocanité du Sahara occidental dont la dernière en date est celle d’Israël. Le Maroc ne cesse à ce sujet d’engranger des soutiens significatifs à son plan de développement du Sahara, que ce soit en Europe, en Afrique ou sur le continent américain.

Sur le plan social, les réformes engagées par le Maroc sous le leadership du Roi Mohammed VI, donnent leurs fruits et un des chantiers majeurs engagés par Souverain est très certainement l’Initiative nationale pour le Développement humain (INDH) aujourd’hui à sa troisième phase. L’Institution s’assigne l’élargissement de l’accès aux services sociaux de base, la promotion des activités génératrices d’emplois et de revenus et l’amélioration des conditions de vie des personnes souffrant d’une grande vulnérabilité ou aux besoins spécifiques.

D’autres, relatifs à la mise en œuvre du grand projet de généralisation de la protection sociale et à l’opérationnalisation du Registre National de la Population (RNP) et du Registre Social Unifié (RSU), considérés tous deux comme les principaux mécanismes d’une application efficiente et bien ciblée des programmes d’appui social.

Pour ce qui est de la généralisation de la protection sociale, le Maroc est d’ores et déjà à pied d’œuvre pour mener à bien ce projet, en facilitant l’accès de l’ensemble des citoyennes et citoyens à l’Assurance Maladie Obligatoire AMO, en élargissant la base des bénéficiaires des régimes de retraite parmi la population active et en généralisant les allocations familiales et l’indemnité pour perte d’emploi.