06032023Headline:

Joana Sanz prend la défense de Dani Alves

Le mannequin de Tenerife a posé une série de questions à ses abonnés Instagram dans lesquelles elle a fait appel à la présomption d’innocence pour demander le respect du Brésilien.

Déjà installée à Madrid, Joana Sanz a souhaité poser à ses abonnés Instagram une série de questions pour les aider à en savoir plus sur elle, sa situation personnelle et sa facette de mannequin.

Une occasion dont ils ont profité pour l’interroger sur l’exposition médiatique et sa relation avec Dani Alves, en prison provisoire après avoir été dénoncé par une jeune fille de 23 ans qui l’accuse de l’avoir agressée sexuellement dans la salle de bain privée du Discothèque Sutton à Barcelone nuit du 30 décembre.

A la question «Et quand allez-vous vous opposer publiquement à un violeur présumé ?», le mannequin a pris la défense du Brésilien : «Je suis fatigué et contrarié par ce type de message ou de commentaire. Où est la présomption d’innocence ?, argumente le canari.

«Jusqu’à présent, le seul procès qui a eu lieu est le procès parallèle que vous avez fait. Je ne serai pas un de plus à le condamner. Arrêtons d’intoxiquer une affaire aussi délicate avec l’opinion publique», ajoute l’ex-compagne du footballeur.

À propos de son exposition médiatique
Parmi les questions des followers, il y a aussi ceux qui se sont intéressés à la situation avec la presse. «Pourquoi aimez-vous tant vous exposer et puis ça vous dérange qu’ils pensent ?», ont-ils demandé. «Je n’aime pas m’exposer, ils m’exposent», répond-elle.

«Je suis poursuivi dans la rue, ils m’attendent devant chez moi, ils parlent de moi ou de ma vie personnelle… Et le pire, ils inventent. Les fois où je parle, c’est pour contrer les fausses informations ou les attaques qui portent atteinte à mon image», ajoute-t-il.

Concernant son attitude envers la presse, il répond : «J’ai réalisé que, quoi que je fasse, ils vont me persécuter. Eh bien, je ne vais pas continuer à baisser la tête. Je n’ai rien fait.

La tête haute et un grand sourire, je ne vais pas me laisser blesser par certaines questions. Parfois, je suis submergé et je ne sais pas si je dois pleurer ou m’enfuir. Je ne supporte pas qu’on m’attende devant chez moi, ça me paraît très psychopathe».

Une autre des questions auxquelles l’île des Canaries a dû faire face concerne son déménagement à Madrid, car il avait été supposé qu’il s’agissait d’un ultimatum de la famille Alves, qui lui aurait demandé de signer un contrat de confidentialité avec continuer dans la maison qu’il partageait avec le joueur.

«Je l’envisageais déjà pour la santé mentale [le déménagement]. La nécessité de recommencer ailleurs. Puis de très fortes opportunités d’emploi se sont présentées à moi et j’ai décidé de déménager aussitôt. Même si ma base est relative. Je voyage beaucoup pour le travail et, en plus, j’ai décidé cette année de voyager seule pour les loisirs. Je vais marquer un ‘mange, prie, aime’», répond-elle.

«Tu sors avec Achraf Hakimi ?»
L’une des questions les plus surprenantes posées au mannequin était de savoir si elle sortait avec Achraf Hakimi, le footballeur du Paris Saint Germain accusé d’un viol présumé, et dont Hiba Abouk a récemment annoncé son intention de divorcer.

«Je ne comprends pas la morbidité louche de ce pays. Quel plus grand manque de respect vous avez. Vous dépassez continuellement les limites avec votre mal créatif. Je ne le connais pas et je ne l’ai pas vu de ma vie», confie-t-elle.

 

What Next?

Recent Articles