Tatiana Beugré Ahoua a été sacrée Awoulaba CI 2016 samedi 13 août à la salle Lougah François du Palais de la Culture de Treichville succédant ainsi à Inès Laeticia Kouacou, Awoulaba CI 2015.
La représentante du Plateau lors de la finale du concours de promotion et de valorisation des canons de beauté de type africain, Awoulaba CI, a succédé samedi 13 août, dans une salle pleine à craquer, à Inès Laeticia Kouacou, Awoulaba CI 2015. Avec 186 points, la protégée du maire Akossi Bendjo a décroché l’écharpe d’Awoulaba CI 2016.
Célibataire, 32 ans, mère de deux enfants et commerçante de profession, l’Awoulaba CI 2016, Tatiana Beugré Ahoua a fait l’unanimité sur sa beauté tant au niveau du jury que du public. Lors de ses trois passages, en tenue boubou, maxi et traditionnelle, Tatiana Beugré Ahoua a plus que séduit. Elle était la meilleure parmi des douze autres candidates en compétition. En témoigne l’important écart de points entre ses Saramans et elle.
Landry Dellayah Feby, 27 ans, célibataire avec deux enfants et par ailleurs représentante du Gbèkè a été 1ère Saraman devant Seraphine Aya Kouadio venue de la région du Poro.
Pour cette première sortie de Geneviève Dahon, présidente du Comité Awoulaba Côte d’Ivoire(Caci), le concours Awoulaba CI a gagné en maturité et en organisation selon plusieurs observateurs présents dans la salle. Et c’est à juste titre que la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la protection de l’Enfant, Euphrasie Kouassi Yao, représentant la marraine, Mme Dominique Ouattara, a salué le courage et la détermination de la présidente du Caci.
Mme Dominique Ouattara a fait don de trois millions de F Cfa dont un million de F Cfa à l’Awoulaba, un million au Caci et aux autres candidates.
Le concours Awoulaba CI 2016 a également enregistré ses deux grandes innovations annoncées. À savoir, le port de tenues traditionnelles des différents pays de la Cedeao présents en Côte d’Ivoire et aussi le soutien des treize marraines devant coacher les Awoulaba dont Mme Irène Assa Vieira, DG du Burida et Akissi Delta, réalisatrice de « Ma Famille ».
Philip KLA
linfodrome.com