Les élèves ont été chassés des salles de classe parceque que le mot d’ordre de grève est maintenu et que leurs leaders qui l’ont levé la veille sur les antennes de la télévision nationale agissaient sous la pression des armes. A ce propos, des messages (sms) circulent. « Urgent ! vigilance camarade ! si vous apercevez les nationaux de l’IFCI ou de la Plateforme faire une déclaration au journal de ce jour demandant la levée du mot d’ordre, c’est qu’ils ont un fusil sous la tempe. Car jusqu’à présent, ils sont à la primature à l’heure ainsi. La grève continue et devient sauvage ! », indique un sms qui nous est parvenu hier dimanche dans la soirée. La situation sociopolitique est donc confuse.

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