Victor, tu as abusé de moi…”

Le soir de la finale de Miss Côte d’Ivoire, le 7 juin 2014, une violente protestation de dame Yasmine Aka, mère d’une des candidates malheureuses au concours national de beauté, a animé la toile.

Une vidéo où cette femme, très furieuse, explose littéralement : «Yapobi, tu as abusé de moi…» en accusant le Comité Miss d’Ivoire d’avoir pris ses 3 millions et volé la victoire à sa fille (candidate n° 24, Esther Uha). Mais vérification faite, c’était le cri de colère d’une ex de Yapobi sans doute convaincue que le président du COMICI ferait jouer la vieille relation (en faveur de sa fille) dans le résultat du concours de beauté.Surtout qu’elle était également la tante de Thierry Coffi, membre du Comici.

Arafat et l’affaire du métro

Début janvier 2014, Arafat se fend d’une déclaration au micro d’Africa N°1, à Paris, en affirmant qu’il ne prend pas le métro. «Parce que c’est pour les pauvres», dit-il.Mais face au tollé provoqué sur la toile par cette déclaration et les menaces qui s’en sont suivies à son encontre, le «Yôrôbô» a vite fait de diluer ses propos en disant : «ce n’était pas mon intention de blesser les gens. C’est pourquoi je demande pardon à tous mes fans de l’Europe et d’ailleurs qui ont été touchés par ma réponse. Sinon, pendant 5 ans quand j’étais en France, je prenais le métro aussi…».

Billy Billy cale à Bengue

Parti fin mars en France pour une série de spectacles avec d’autres artistes ivoiriens, le rappeur Billy Billy décide de ne plus rentrer en Côte d’Ivoire et fait une demande d’asile politique, en Autriche. Surprenant ! On apprendra que Billy Billy était accusé par des jeunes de son quartier Wassakara d’avoir détourné le pactole que lui avait remis la Première Dame, en décembre 2013, lors d’un spectacle auquel l’artiste avait invité à Yopougon Mme Dominique Ouattara. Craignant donc de devoir rendre compte à son retour aux jeunes qui l’attendaient de pied ferme, «le coq» aurait préféré se mettre à l’abri à Bengue, sous couvert d’un «asile politique».

Affaire «Ahoco» :la guerre des Antoinette

C’est une déclaration choc d’Antoinette Allany qui a mis le feu aux poudres, en janvier 2014, dans l’émission Rien à cacher sur radio Nostalgie : «Quand j’entends dire qu’Antoinette Konan est l’inspiratrice de l’Ahoco, ça me fait sourire. Parce que c’est moi, Allany, qui ai joué pour la première fois l’Ahoco dans les années 80 (…). Quand j’étais la maîtresse du ministre René Diby, Antoinette Konan est venue me voir parce qu’elle avait des difficultés. Je l’ai mise en contact avec lui pour qu’il la gère et règle ses problèmes… Tout ce que je dis est vrai. Je ne peux pas mentir sur mon c…». Une déclaration qui a affolé la toile et Abidjan. Ce à quoi Antoinette Konan a réagi en ces termes : «Ça ne va pas continuer comme ça. Les provocations d’Allany, ça finit par m’agacer. Qu’elle me fiche la paix, car la prochaine fois qu’elle m’attaquera, elle me trouvera sur son chemin».

Cheick Tioté :  affaire de polygamie

Le milieu défensif de Newcastle (Angleterre) aurait deux maîtresses, en plus de son épouse. Une affaire révélée par le quotidien anglais The Sun et dont la presse ivoirienne en a fait largement écho. L’affaire est partie d’une plainte de l’une des maîtresses de Tioté, une certaine Nkosiphile Mpofou dans journal The Sun. Malgré le tollé suscité, le footballeur a épousé sa compagne Laetitia Doukrou, le 12 octobre à la mosquée du Plateau, dans la stricte intimité familiale.

François Yéo

topvisage

Les déboires conjugaux d’Affou Kéïta

Alors que la chanteuse Affou Kéita se répand dans la presse, revendiquant sa place d’épouse légitime auprès du commandant Jah Gao, une autre femme, la parlementaire Mariam Traoré, monte au créneau pour mettre les points sur les «i» : «Avant qu’un homme n’épouse une femme, s’il a une première femme, il le dit, s’il a une ex-femme, il le dit. Pour moi, mon mari a eu une ex-épouse et puis c’est tout (…) Aujourd’hui, il s’est marié, il a une femme, point barre.» Une déclaration qui a mis un terme aux nombreux sons de cloche.