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François Hollande surpris avec Julie Gayet : Des sanctions prises à l’Élysée…

Depuis la publication, par le magazine Voici, de photos le montrant assis au côté de l’actrice Julie Gayet (qui était jeudi soir l’une des invitées du très chic Bal de Soie Hermès) dans les jardins de l’Elysée, le chef de l’État François Hollande était furieux de voir une nouvelle fois sa vie privée si – facilement – exposée. Alors que l’identité de la personne ayant fait ces images n’a pu être établie à 100 %, des mesures ont été prises par l’Élysée pour réorganiser le service privé du président.

“Cinq membres du personnel qui étaient jusqu’à présent affectés au service privé du président de la République sont en cours de réaffectation au sein du service de l’intendance”, a déclaré une source à l’AFP, confirmant les informations d’un article du journal Libération qui faisait en premier lieu état de cette “mutation” forcée. Le quotidien national a en effet dévoilé que les cinq employés en question, qui travaillent dans les appartements privés du président, ont été logiquement démis de leurs fonctions pour un problème “de confiance”. Toutefois, du côté de l’Élysée, on se refuse à parler de sanction, bien que cela y ressemble fortement…

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Le journal Libération ajoute que l’enquête menée par la gendarmerie s’occupant de la sécurité du palais présidentiel n’a pas permis de dévoiler l’identité exacte de l’auteur des photos publiées par Voici, représentant pour la première fois François Hollande et celle qui fait battre son coeur – et a causé la chute de Valérie Trierweiler -, l’actrice Julie Gayet. Les doutes se sont cependant rapidement portés sur un cercle limité d’individus et, en seulement une journée, les gendarmes ont compris que les photos étaient l’oeuvre de quelqu’un ayant utilisé son téléphone portable depuis les appartements privés dont les fenêtres donnent sur le jardin. En revanche, ils n’ont pas pu compter sur la collaboration de Marion Alombert, la rédactrice en chef de Voici, qui a refusé de dévoiler les dessous de ces photos.

Libération ne manque pas de souligner que sur les cinq membres en question, quatre ont été embauchés par l’ancien président Nicolas Sarkozy. L’entourage du chef de l’État estime donc avoir une confirmation, avec cette affaire, que ses faits et gestes étaient surveillés par le clan adverse depuis le début de son mandat en 2012.
Thomas Montet

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