C’était le samedi 6 septembre 2014. D’entrée, nos sources indiquent que l’on n’a pas à s’apitoyer sur le sort de cet individu. Et pour cause. A en croire nos sources, avant la rentrée scolaire qui devrait se faire dans les jours suivants, A. Jean-Jacques a cru bon, de façon frauduleuse, d’aller faire ses « emplettes » dans les locaux du lycée technique. Malheureusement pour lui, il est surpris par les vigiles.

Et dans le combat insensé de corps à corps qu’il engage contre les gardiens, pourtant en supériorité numérique, il perd rapidement la face. A l’aide de machettes, il est ainsi tailladé affreusement à la main droite et dans le dos.

Les responsables de l’établissement scolaire, saisis plus tard, alertent les sapeurs-pompiers afin qu’ils évacuent le présumé voleur dans un centre hospitalier. Ce, pour qu’il soit soigné, avant d’être mis à la disposition du commissariat de police du 8ème arrondissement dont des éléments sont venus au constat. Mais il se trouve qu’à ce moment précis, l’ambulance des pompiers n’était pas disponible, nous dit-on. Finalement, il revient que c’est le proviseur du lycée qui, lui-même, a conduit A. Jean-Jacques aux urgences du Chu de Treichville.

Madeleine TANOU

L’INTER