04192024Headline:

Voici pourquoi les indonésiennes sèchent leur partie intime avec du sable et…

 

La plupart des femmes en Afrique du Sud et centrale, et l’Indonésie mènent une horrible pratique connue sous le nom «s*x dry», en français « s*xe sec » qui non seulement les laisse dans la douleur, mais à un risque accru au VIH. Rapporte Dailymail

Le « Dry S*x » est une pratique où les femmes réduisent l’humidité dans leurs vag*ns pour rendre les rapports plus agréable pour les hommes.

Cette fonction de rapports peut conduire à des déchirures, des plaies et l’inflammation dans le vag*n, et augmente les chances de rupture du préservatif.

Ces facteurs à leur tour augmentent les chances des femmes de contracter des maladies s*xuellement transmissibles dont le VIH.

Il est confirmé d’une croyance culturelle que les hommes trouvent le s*xe plus agréable si la partie intime d’une femme est sec, et que les hommes rejettent les femmes dont les vag*ns sont «larges» selon le sexe.

Pour atteindre la sécheresse, les femmes insèrent, de la craie, du sable, de la roche pulvérisée, des herbes, du papier ou des éponges avant les rapports, selon le journaliste Mme Syfret, qui a fait la déclaration sur la pratique en Afrique du Sud.

Elles mettent aussi dans leurs partie intimes des détergents, des antiseptiques, de l’alcool et de l’eau de Javel.

Des femmes en Java, en Indonésie, font même « fumer » leurs joujoux en se tenant debout sur des herbes en combustion, rapporte LoveMatters.

Dans d’autres régions de l’Indonésie, il est courant d’insérer un bâton en forme de cigare faite d’une racine de plante.

Dr Marlene Wasserman, communément connu en Afrique du Sud comme Dr Eve, dit que la pratique continue de « Dry S*x » montre le manque d’éducation relative à l’égalité et les droits des femmes dans la région.

C’est certainement une question de classe

, a t-elle dit à VICE.

Fondamentalement, la réputation d’une femme dépend de la taille de son vag*n

Parmi les femmes qui sont moins informées et les moins instruites, il y’a une ignorance incroyable autour de l’idée que le vag*n s’adapte au p*nis.

Elle a expliqué que les deux hommes et femmes ne parviennent pas à comprendre que le vag*n est capable de s’étendre pendant les rapports s*xuels – et ensuite revenir à sa taille habituelle après.

Il y’a aussi une croyance culturelle erronée que si une femme a un partenaire avec un bazouka, sa partie intime restera de façon permanente « étiré » – et les futurs partenaires vont penser qu’elle est « large ».

La pratique est ancrée dans la culture, passée entre générations de femmes.

, a t-elle ajouté.

Elle a poursuivi:

Les hommes ne disent pas aux femmes…Mettez du Dettol dans votre vag*n.

Au lieu de cela, ils insinuent qu’une femme promiscuitée est due à l’état de ses organes génitaux

Pour les femmes dépendantes de leurs petits amis ou maris, atteindre l’engagement et leur plaire est extrêmement important.

Elle a ajouté que l’idée que la douleur est normale ou acceptable pendant les rapports s*xuels a pris racine, et la plupart des femmes en Afrique du Sud ne pensent pas que le plaisir s*xuel est quelque chose qu’elles en ont nécessairement le droit.

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