
« (…) la conférence épiscopale catholique n’a pas pris la bonne mesure initiative spirituelle et, même si elle avait son mot à dire, elle n’aurait pas dû imposer de l’exigence comme préalable, car c’est seule Allah qui à établit l’autorités de Ouattara et, non pas un cercle religieusement partisan à l’opposition ivoirienne, qui pourra la défaire.
(…) Cependant, nous islamiques ne faisons que donner des conseils zux politiciens et non pas de se livrer à des préalables politiques.
(…) sinon que c’est comme comprendre que ce cercle partisan a décidé de soutenir une révolte de l’opposition, en cas d’un refus de Ouattara et s’il manifeste le désir a un nouveau mandat », a dit le président du conseil supérieur des imams COSIM.
Les Ivoironautes