04242024Headline:

Le SIDA et l’homme / les révélation que font le professeur Luc Montagnier à ce sujet, savoir….

 

Quand Brent Leung a montré son documentaire révolutionnaire sur le SIDA,  » House of Numbers « , il a été l’objet d’attaques diffamatoires sans précédent. Les  » spécialistes « , promoteurs des théories conventionnelles sur le SIDA, avec leurs vaccins et produits pharmaceutiques, se sont déchaînés contre le protagoniste en le qualifiant de « négationniste du SIDA » faisant un parallèle sans équivoque possible avec l’expression « négationniste de l’Holocauste ».

Quand Brent Leung a montré son documentaire révolutionnaire sur le SIDA,  » House of Numbers « , il a été l’objet d’attaques diffamatoires sans précédent. Les  » spécialistes « , promoteurs des théories conventionnelles sur le SIDA, avec leurs vaccins et produits pharmaceutiques, se sont déchaînés contre le protagoniste en le qualifiant de « négationniste du SIDA » faisant un parallèle sans équivoque possible avec l’expression « négationniste de l’Holocauste ».

Quelle curieuse comparaison : si vous niez une quelconque partie des théories conventionnelles sur le SIDA, vous êtes aussi méchant qu’un criminel de guerre nazi ?

Leur mythologie sur le SIDA est fondée sur des mensonges et de la désinformation. C’est pourquoi au lieu de s’engager dans un débat intelligent fondé sur les preuves disponibles, ils attaquent toute personne mettant en doute les partisans de leur culte pro-pharmaceutique.

Des coupables qui accusent

Comparaison curieuse et même paradoxale : car les origines de l’industrie pharmaceutique moderne se trouvent précisément dans le régime nazi, quand des scientifiques menaient des expériences pharmacologiques sur les prisonniers des camps de concentration. Des réalités historiques nous rappellent combien certains domaines, telle la pharmacologie, ont un passé bien peu reluisant.

Par exemple, le président de Bayer, celui de l’aspirine Bayer, était durant la 2ème guerre mondiale le docteur Fritz ter Meer. Un criminel de guerre reconnu coupable de crimes contre l’humanité et condamné à sept ans de prison lors du procès de Nuremberg.

Ainsi donc voit-on d’anciens criminels nazi et consorts, affubler un jeune réalisateur de négationnisme alors qu’il ne fait qu’apporter aux yeux du monde de simples vérités… dérangeantes certes, mais des vérités dites par un personnage bien informé sur le sujet.

Un secteur industriel qui n’a pas vraiment changé

Peu de changement depuis l’après guerre pour l’industrie pharmaceutique d’aujourd’hui qui est largement vérolée par des criminels non inculpés, mais coupables de crimes contre l’humanité biens actuels.

Leur méthode n’est plus à démontrer. Elle a été largement employée et éprouvée : pour multiplier les profits ils favorisent d’abord la maladie puis vendent le vaccin ou le médicament qui soit disant « traite » la maladie.

L’efficacité de leurs produits commercialisés n’est que rarement réellement vérifiée. Car les études réalisées sont financées par les mêmes acteurs qui ont des intérêts financiers dans le secteur.

Ce qui se vérifie toujours par contre : c’est le prix excessif auquel les médicaments sont vendus, surtout au début de leur apparition sur le marché. On prétexte les coûts de la recherche et en même temps, on engraisse les actionnaires de dividendes aux montants à peine avouables. Et de fait on exclut les populations pauvres de l’accès aux traitements.

C’est toujours la même vieille escroquerie, qu’ils parlent de cancer, de grippe aviaire, du SIDA ou maintenant d’Ebola.

Le film qui dérange

Quand le film House of Numbers sort, les habituels promoteurs de la pharmaceutique qui l’ont visionné savent qu’ils doivent attaquer le message et essayer de le discréditer aussi vite que possible.
Ils prétendent alors entre autres allégations, que Brent Leung cite des scientifiques hors contexte en déformant ce qu’ils disent. En particulier, le réalisateur est attaqué sur son interview du Docteur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine et co-découvreur du virus du SIDA, qui explique entre autres choses à Brent Leung durant l’interview :
on peut vaincre le SIDA par la nutrition… l’approche vaccinale est entièrement exagérée.
De telles affirmations annoncent une catastrophe financière pour les sociétés pharmaceutiques. Car tous profitent du mythe souvent répété que l’on ne guérit pas du SIDA et que seuls les médicaments peuvent traiter la maladie.
L’interview du professeur Luc Montaginier
Pour aider à clarifier cette question, Brent Leung, le réalisateur de House of Numbers a accepté de fournir un film non coupé de la conversation avec Luc Montagnier qui a un message différent sur le SIDA à faire passer, jugez par vous même :

Fabrice Renault

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