La mère du footballeur Abdul Razack :”Aïcha n’aime pas mon fils”. Elle m’accuse d’être une sorcière. Et que je serais à la base du décès de leur premier enfant. Mon fils aime Aïcha. Mais Aïcha ne l’aime pas. Si elle aimait mon fils, tout ce qui arrive en ce moment n’allait pas arriver. Quand ça va entre-eux, ils coupent les ponts avec moi. Mais quand ils sont une histoire. Aïcha revient vers moi pour que je parle à mon fils. Razack achetait un mouton à chaque fête de Tabaski. Mais depuis le décès de son père en 2011, il a arrêté de le faire. Je suis accusée d’être une sorcière. Razack et son épouse Aïcha m’accusent d’avoir tué leur premier enfant. Décédée dans leur piscine ici à Abidjan. Aïcha a osé venir chez moi pour m’accuser d’avoir tué mon petit-fils .Aïcha envoie ses parents chez eux. Mais moi jamais. Au décès de leur enfant, elle a refusé que je rentre dans la chambre où était mon fils. Sous prétexte que je serais une sorcière. Nous sommes issus d’une famille pauvre. Si Dieu a permis que nous ayons un fils footballeur, c’est pour nous aider. J’ai aussi contribué à ce que mon fils est devenue aujourd’hui. Dieu m’a donné neuf (9) enfants. Razack est l’aîné de mes enfants. Malgré le décès de leur père, il refuse de m’aider à scolariser ses petits frères. Mes enfants ont fait des années blanches. Razack réalise des projets pour sa compagne Aïcha. Mais Il n’a rien réalisé pour moi. Quand Razack remet de l’argent à sa femme pour me remettre, elle cisaille, en détourne une partie. Razack dit m’avoir offert une maison . Une maison dont il m’a jamais remis les papiers . Elle ne porte donc pas mon nom. Cette maison est d’ailleurs inachevée. On coupe l’électricité et l’eau sur moi. Mes voisins m’aident. Je m’approvisionne en eau et en électricité chez-eux. Mon fils n’était pas comme ça. Il a changé”.
Melv Sage