Humm j’imagine bien ce que ses deux femmes peuvent bien se dire ce soir avant d’aller se coucher:
Chantal Compaoré: hééé ma chère, on m’a chassé oohh
Dominique ouattara: ehh nous même, hounn, on ne sait pa ce qui nous attend ohh
Chantal Compaoré: au moins, vous êtes encore là profiter un peu encore parceque affaire de peuple là sa fait peur.
Dominique ouattara: toi au moins tu es ivoirienne et tu es venu chez toi, tes parents vont te soutenir.
Chantal Compaoré: ki ta di sa, kan j’étais, au pouvoir là, je les avais oublié, je ne sais même plus ou ils sont.
Dominique ouattara: humm toi aussi, fallait au moins donner le marché du port et café cacao là à tes parents, comme moi j’ai fais pour mon fils.
Chantal Compaoré: ahhh toi aussi tu oubli que ya pa port et café cacao au Burkina.
Dominique ouattara: eeh pardon, comme nous tous on vend sur le marché international là, j’avais oublié. Pardon.
Dominique ouattara: bon laisse sa tomber, di moi comment tu as fais pour arriver ici vite comme sa.
Chantal Compaoré: hééé faut pas me provoquer la nuit la heinn, mais bon, dès que sa commencé, j’ai pri le train, on a fait 2 jours en route mais ma chère façon j’ai dormir dans le train là humm.
Dominique ouattara: et ton mari, tu l’a laissé ou?
Chantal Compaoré: hééé, ma chère, dans les circonstances pareilles, chacun se cherche heinn, lui, il m’a dit kil veut tenir tête et si c’est chow, il va aller vers le sud à Pô
Dominique ouattara: humm il est courageux ohhh, au lieu de faire comme toi, il s’entête.
Chantal Compaoré: hoônn toi tu ne connais pas Blaise?
Dominique ouattara: bon faut dormir, demain on va continuer à parler
Chantal Compaoré: ahhh toi aussi donne moi, un morceau de pagne, je n’ai rien pri ohhh
Dominique ouattara: ahh toi aussi, bon attends je te donne sa c’est un pagne anglais.
Chantal Compaoré: hounn toi aussi, je suis tombée ohhh, c’est pagne anglais tu me donnes, alors que toujours toi même tu porte les hollandais.
Dominique ouattara: ahh ma chère, nous est encore aux affaires, donc contente toi de ce ke tu gagnes.
Chantal Compaoré: hééé l’homme n’est rien dêhh, c’est moi Chantal, tu ne te rappelle pas de moi à ouaga? ???
A suivre demain. …..