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Grand-Bassam : point de l’exécution du budget du ministère dirigé par le ministre Kobenan Adjoumani

Les responsables financiers du ministère de l’Agriculture et du développement rural, ont organisé un atelier ce lundi 28 juin 2021, à Grand-Bassam. Faisant le point de l’exécution du budget du ministère dirigé par le ministre d’État, Kobenan Kouassi Adjoumani, le directeur des affaires financières, Tehua Kouamé Adjoumani s’est dit satisfait des résultats enregistrés pour une première expérience de l’exécution du budget en mode programme.

A en croire le directeur des affaires financières du ministère de l’Agriculture et du développement rural, le ministère en élaborant son Document de programmation pluriannuelle des dépenses-Projet annuel de performance (DPPD-PAP) 2020-2022, avait arrêté trois programmes. A savoir l’administration générale, sécurité alimentaire et le développement rural.

“Pour le programme 1 administration générale, l’action recherchée est d’avoir une administration modernisée et performante. Quant à l’exécution du budget, nous étions à 93,2% pour un budget de 13,600 milliards FCFA. Concernant le programme 2 qui est production et sécurité alimentaire, nous avons un budget autour de 30 milliards FCFA, pour un taux d’exécution de 98%”, a expliqué Tehua Kouamé Adjoumani.

Ajoutant : “Ce programme adresse les questions relatives à la production et à la sécurité alimentaire. Nous avons enregistré depuis 2012, un taux annuel de production de 17%, qui est vraiment important. Concernant le programme 3 qui est développement rural, il porte sur les questions de ruralité, la sécurité foncière, les questions du métier d’agriculteur etc. C’est un budget de 37 milliards FCFA qui est exécuté autour de 81,6%”.

Le directeur financier a par ailleurs marqué sa satisfaction quant à l’exécution du budget : “Nous sommes très satisfaits. C’est une première expérience de l’exécution du budget en mode programme. Il y de nouveaux acteurs, ce sont de nouveaux outils qu’il faut maitriser. Donc enregistrer ces résultats, c’est satisfaisant. Nous ne sommes pas satisfaits à 100%. Puisqu’il y a des marges de progression. Nous allons tirer les leçons de cette gestion puis, voir comment optimiser les atouts au ministère, et comment en tenir compte pour aller de l’avant”, a-t-il déclaré.

Afriksoir.net

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