04262024Headline:

Drame: Adjamé, Horreur des horreurs; Sans exagérer, c’est comme cela qu’on pourrait qualifier les faits macabres; De quoi est-il exactement question ?…

Horreur des horreurs. Sans exagérer, c’est comme cela qu’on pourrait qualifier les faits macabres qui se sont produits à l’ancienne « Casse », à Adjamé. Une véritable ignominie, à la teneur saisissante. De quoi est-il exactement question ? Nos sources relatent que le matin du samedi 15 septembre 2018, la police est informée de la présence d’organes humains, à l’ancienne « Casse ». L’informateur dans la voix duquel on sentait une vive émotion, insiste tellement que les agents de police sont convaincus qu’il ne s’agit pas d’un canular.

Ils foncent donc à l’endroit indiqué. Lorsqu’ils y arrivent, précisément derrière le parc à bétail, certains sont subitement pris de fortes nausées, quand d’autres restent tout simplement baba, sous l’effet du choc. En effet, au sol, dans du sang en abondance, traîne le corps ou du moins, ce qu’il reste du corps d’un jeune homme, d’une trentaine d’années. Une tranche d’âge déterminée approximativement par les agents de police, au regard de la texture des muscles du défunt. La caricature probable du crime est alors faite.

Ainsi, il revient qu’après l’avoir complètement mis à poil, ses bourreaux le décapitent carrément. Ces criminels lui sectionnent ensuite le nez et les deux oreilles. Cela fait, les tueurs qui ont certainement commis l’odieux acte très tard dans la nuit, partent avec la tête mutilée. Abandonnant sur les lieux du crime, les deux oreilles et le nez tranchés.

Le constat de la police achevé en présence d’une foule prise d’émotion, les services des pompes funèbres font leur job. Ils enlèvent le reste du corps, les organes abandonnés et vont les déposer à la morgue.

Après quoi, les forces de l’ordre ouvrent une enquête, en vue de découvrir l’identité du défunt sur qui, il n’avait été trouvé aucun documentent administratif. Mais pas que ça. L’enquête vise également à appréhender les tueurs et savoir le mobile de leur meurtre odieux. En entendant qu’on en arrive à cette terrible vérité, pour beaucoup sur les lieux des faits dramatiques, l’acte des tueurs épouse les contours d’un crime rituel. Mais pour quel but ? C’est la question.

KIKIE Ahou Nazaire

linfodrome.com

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