La fameuse lumière était bel et bien là, éblouissante.”
“Je ne suis resté mort que deux minutes. C’est peut-être à la troisième que le mec à la faux apparaît et se met à vous reprocher toutes les mauvaises actions que vous avez commises”, écrit le journaliste. Comme de nombreuses personnes dans son cas, Chris a vu une lumière vive, éblouissante. Une expérience qui l’a transformé.
“Mon bref passage dans l’au-delà a changé ma vie terrestre. J’ai été le poisson qu’on rejette à l’eau parce qu’il n’était pas assez gros. Et, bien que je n’aie pas dépassé le hall de l’hôtel du repos éternel -un cinq étoiles, j’espère-, j’ai le sentiment d’en avoir vu assez pour savoir que la mort est l’état le plus serein qui soit. Tout n’est plus que paix. Rien d’autre. Il n’y a rien à redouter, si ce n’est le chemin qu’on emprunte pour arriver jusque-là et le bien-être des êtres chers qu’on laisse derrière soi.”
Un témoignage touchant, qui rejoint un article récent du Telegraph sur les dernières confidences de patients malades en phase terminale et de condamnés à mort. “Quand on imagine nos émotions à l’approche de la mort, on pense surtout à la tristesse et à la terreur. Mais nos découvertes montrent que la mort est moins triste, moins terrifiante, et plus heureuse qu’on ne le pense”, explique le chercheur Kurt Gray de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.
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