Des malfaiteurs ont attaqué une cour commune au quartier « BC », à Abobo. Ils se sont non seulement fait du pognon au cours de cet assaut, mais ils ont également « souillé » les parties intimes de l’une leurs victimes.

De fait, dans la nuit du mercredi 30 au jeudi 31 mars 2016, il est environ 2h du matin, lorsqu’un gang, composé de dix membres, se pointe devant une cour commune abritant trois domiciles. Avec des briques pleines, ces gangsters défoncent le portail et pénètrent dans la cour commune. Ensuite, ces criminels fracturent les portes des trois domiciles, et en maîtrisent les occupants. Puis on les voit passer au crible, les piaules. Cette sale façon de faire rapporte à ces « plaies » de la société, des sommes d’argent, des téléphones-portables, des bijoux et bien d’autres objets de valeur. C’est largement suffisant pour faire le bonheur d’une telle vermine. Du moins, c’est bien ce que l’on croit. Parce qu’après avoir étanché leur soif matérielle, trois d’entre les gangsters ont bien une autre soif à étancher. Celle-là, sexuelle. Et le mouton de sacrifice qu’ils choisissent pour écouler leur sale semence est la femme de ménage de l’un des locataires. Ils empoignent donc la pauvre dame, qui tente d’opposer de la résistance. Mais un coup de couteau porté à son épaule gauche, a vite raison de sa volonté à défendre et à protéger ce qui fait sa dignité de femme. Finalement, la pauvre est soumise à un viol collectif par ces sales « bouseux ». Au terme de cette immonde partouze de laquelle, eux seuls semblent avoir tiré plaisir, les trois gangsters rejoignent leurs sept autres acolytes, et tous prennent la fuite. La pauvre dame de ménage, souillée et blessée, est conduite à l’hôpital pour des soins. Informée, la police arrive sur place pour les constatations d’usage, et ouvre une enquête. Les voleurs doublés de violeurs sont donc activement recherchés.

Madeleine TANOU

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