04262024Headline:

Côte d’Ivoire« Manigances dans le procès de Gbagbo : la Cpi prise la main dans le sac »

Gbagbo comdanation CPI

 

Gbagbo à la Cpi

« Manigances dans le procès de Gbagbo : la Cpi prise la main dans le sac », barre à la Une Le Temps, qui explique comment. En il s’agit du greffe de la Cour. La Défense de Gbagbo a produit un document dans lequel elle expose des irrégularités de procédure dans le procès de Laurent Gbagbo. « La Défense note qu’elle ne dispose que des versions expurgées des demandes de participation de victimes, à la différence de l’Accusation, laquelle dispose de versions non expurgées victimes. Cela crée un déséquilibre défavorable à la Défense….» Me Altit soutient que « le greffe n’a pas respecté les directives et instructions des juges relatives aux expurgations…» En outre, le Conseil de Gbagbo indique « la Défense relève qu’un certain nombre de demandes contiennent des documents d’identité qui ne sont pas signés du demandeur et en l’occurrence ne sauraient être valables. C’est le ca des demandes ».

A ce sujet, L’Expression titre : « A deux mois du procès de Gbagbo, son avocat pose encore des conditions ». Le journal écrit que « Me Altit s’oppose au témoignage de 270 supposées victimes… Pour Me Altit, il manquerait dans les demandes de participation, au procès des victimes, certaines informations retirées par la Cpi… ».

Pendant ce temps, à la prison de Scheveningen, à la Haye, « Gbagbo est envahi dans sa cellule », écrit à la Une L’inter. Il ajoute que devant cette situation, la Cpi a pris des mesures. C’est qu’en croire la Lettre du continent d’où le journal tient son information, « Laurent Gbagbo se trouve à l’étroit dans sa cellule parce qu’envahi par des livres et divers objets. Il ne sait plus où ranger, selon la Lettre du continent la quantité de bouquins et d’effets personnels dont les petits objets décoratifs rares ou curieux que lui offrent ses nombreux visiteurs ». Au point les responsables de la prison ont décidé de ne plus lui faire suivre aucun objet afin de se conformer aux consignes de sécurité et aux normes anti-incendie »

Coup d’État au Burkina Faso

« Burkina Faso : les hommes de Blaise Compaoré mélangent la transition », titre à la Une Notre Voie. Il informe que le président de la transition Michel Kafando et son premier ministre, le lieutenant-colonel Isaac Zida, ainsi que plusieurs ministres ont été pris en otage hier, par des militaires. « Selon des sources concordantes, les soldats présentés comme des membres du Régiment de sécurité présidentiel (Rsp) réputé loyal à l’ex-président déchu Blaise Compaoré, ont fait irruption au palais présidentiel où se tenait un Conseil des ministres », écrit le journal.

Pour sa part, Fraternité Matin titre « le Président et le Premier ministre de la transition otages des militaires : confusion à Ouaga ! ». Il écrit que Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, s’est endormi, la peur au ventre dans une confusion totale, ce 16 septembre 2015. En effet comme une traînée de poudre la rumeur sur l’irruption des éléments du Rsp, aux environs de 14h30, dans la salle du Conseil des ministres du palais présidentiel de Ouaga 2000, s’est confirmée ». Tous les journaux en parlent. Il faut ajouter que ce matin, des militaires ont confirmer le coup d’État.

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