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Côte d’Ivoire:Voici-l’Analyse des sept arguments de Ben Soumahoro

Mamadou Ben Soumahoro ou la haine baveuse incarnée: analyse d’une diatribe mythomaniaque contre la république de Côte d’Ivoire

Une tribune internationale de Franklin Nyamsi

Professeur agrégé de philosophie

Abidjan, Côte d’Ivoire

 

Mamadou Ben Soumahoro ou la haine baveuse incarnée: analyse d’une diatribe mythomaniaque contre la république de Côte d’Ivoire

En règle générale et fort malheureusement, trop d’ êtres humains naissent, vivent et meurent sans savoir pourquoi ils sont nés, pourquoi ils ont vécu et pourquoi ils meurent. Leur vie, bien souvent hélas, se déroule comme le rêve de la vie d’un autre, le rêve d’une autre vie, celle qu’ils auraient aimé vivre, tellement ils détestent celle qu’ils vivent. Vivre sa vie à côté de sa vie, comme un mort-vivant, traverser la durée terrestre à côté de ses pompes, de la plaque, dans une succession de ratés qui signent une guigne et une malchance innommables, n’est-ce pas hélas le sort de zombie que le destin a réservé au romancier par excellence de la haine qu’est Mamadou Ben Soumahoro? Il y a décidément trop de gens que le succès de la Côte d’Ivoire républicaine rend fous. Comment justifier encore leur capricieux et insignifiant exil? Devant l’embellie économique, politique, diplomatique et culturelle que le pays connaît sous le magistère du Président Alassane Ouattara, ils en perdent leur latin et à défaut de pouvoir renverser la démocratie ivoirienne par les armes,  le web leur offre la dernière lucarne de tir contre l’esprit de la république inclusive, cosmopolitique, anti-ivoiritaire en émergence. En effet, à lire l’article publié le 1er août sur le web ivoirien par le sieur de Bako, sous le titre «  Guillaume Soro, le Soleil et le Président », on ne peut manquer de prendre cette hauteur de perspective pour comprendre l’empire que les ténèbres exercent sur l’âme du rédacteur, tellement son esprit est éloigné de la saine appréciation des réalités! Puisque Mamadou Ben Soumahoro conclut sa dernière diatribe par un appel au secours du Docteur Nyamsi, ayons la générosité de lui apporter thérapie sur trois points essentiels : I) Des remarques méthodologiques sur l’art du roman haineux de Mamadou Ben Soumahoro; II) Une analyse logique des sept arguments de son article dressé contre le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire; III) Une esquisse de réponse à la question essentielle des motivations cachées de la dernière sortie de Ben Soumahoro contre le président Guillaume Soro. J’espère ainsi aider Mamadou Ben Soumahoro à émerger de la prison de haine qui l’enserre, afin qu’il se comprenne un peu mieux lui-même et change son fusil d’épaule avant qu’il ne se retourne définitivement contre lui-même

I : Remarques méthodologiques sur l’art romanesque d’un mythomane indécrottable

Avant d’analyser le texte de Ben Soumahoro, il faudrait se faire une image de la tronche de l’homme. Sa morphologie nous apprend beaucoup de sa manière de vivre, de penser, de parler, d’être. Toutes les photos de l’homme nous le montrent bouffi, la moue toujours négative, les joues renfrognées, la bouche pâteuse et disposée à distiller insultes, rodomontades et effets de manche superflus. L’homme a toujours la tête du fonce-bête, prêt à dire n’importe quoi pour exister dans le pire des chahuts, prêt à exploiter tous les tohu-bohu pour rebondir aux devants d’une scène politique ivoirienne qui l’aura condamné toute sa vie durant, à n’être qu’une roue de secours d’arrière-cour. Le corps expressif de Mamadou Ben Soumahoro laisse à voir par son avachissement, et par le poids des joues remplies de morgue sur les mâchoires, une vie profondément déçue. C’est un corps sombre, assombri et assombrissant. De telle sorte qu’on devrait lui prescrire des exercices de stimulation homéopathique du corps, afin que de nouveau, la vérité, la joie et la lumière du Verbe Incréé le traversent. On peut donc imaginer que l’âme logée dans ce corps est torturée par ses contradictions, volatile, tyrannique, complètement décentrée par la volonté d’être ce qu’elle n’est pas. La dégaine physique de l’homme, où la taille haute n’est que symbole de l’ampleur de la bêtise, trahit une âme de forcené de la gloire, de jaloux chronique, de prétentieux sans bornes. Le grand Mamadou Ben Soumahoro est en réalité un bébé attardé, sans cesse requérant Père Noël et bonbons à l’encan. D’où la petitesse d’esprit qui fait la marque déposée de l’homme et qui s’exprime notamment par sa plus grande obsession: fabriquer un monde artificiel qui lui plaît et s’y complaire , en fuyant maladroitement le monde réel qui lui déplaît. Il s’ensuit des conséquences évidentes dans tous les écrits de l’homme. Freud les avait décrites sous l’expression de « régression-fixation aux stades infantiles. »

Lorsqu’on entre ensuite dans le texte du 1er août pondu par Ben Soumahoro, on ne manque pas d’être frappé par les ténèbres qu’il répand. Toutes les affirmations factuelles contenues dans le texte sont soumises au principe de l’égo-référence, c’est-à-dire qu’elles sont présentées au public avec l’unique injonction d’y croire parce que c’est l’immense Mamadou Ben Soumahoro qui le dit. Urbi et orbi, comme le mythique Narcisse se noyant dans le lac après avoir succombé au charme de son propre reflet, Ben Soumahoro s’enfonce dans l’aveuglement par le Moi. De quoi nous parle-t-il en fait? Ben Soumahoro nous parle de…Ben Soumahoro. A qui parle-t-il en fait? Ben Soumahoro parle à…Ben Soumahoro de …Ben Soumahoro. A quel contexte historique, géographique, sociopolitique se réfèrent les propos de Ben Soumahoro? Vérifiez bien: le contexte est toujours celui que Ben Soumahoro seul a vécu, dont lui seul témoigne, dont il est l’acteur principal et dont il est le destinataire absolu. L’égo-référence, c’est la prison logique des êtres profondément narcissiques, qui croient tout naturellement que ce qu’ils disent est vrai…parce qu’ils le disent.   Embourbés en eux-mêmes, putréfiés et pétrifiés d’ego, ils en étouffent de délires. Vous verrez cette méthode irrationnelle à l’oeuvre dans la suite du propos de Ben Soumahoro.

II : Analyse des sept arguments narcissiques de Ben Soumahoro contre le Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire

Le texte du 1er août que j’analyse est écrit, avec des fortunes stylistiques diverses. Tantôt, la plume est relevée. Tantôt, elle choit dans des difficultés syntaxiques inextricables  et la fatigue probable de l’auteur, comme on le verra par exemple dans le 6ème argument où sous le titre de « diplomatie divine » du Président Guillaume Soro, Mamadou Ben Soumahoro nous entretient du sexe des anges. Nous nous intéresserons donc au fond des sept arguments, quand ils en ont un et montrerons en particulier pourquoi ce fond est foncièrement maléfique.

  1. Premièrement, l’auteur nous informe  d’une prétendue rencontre secrète entre lui et Madame Dominique Folloroux-Ouattara, en 1995, lorsqu’il était question de choisir un Président des Jeunes du RDR. Selon Ben Soumahoro, Madame Ouattara aurait opposé un veto ferme au nom de Guillaume Soro, brandissant alors un courrier dans lequel Guillaume Soro ferait allégeance à son époux et à elle-même, avec une ambition d’hériter politiquement de lui plus tard. Quel roman de science-fiction! Avez-vous noté que Ben Soumahoro est le seul auteur et le seul témoin de cette scène supposée? Nulle part, la première dame actuelle de Côte d’Ivoire, citée par le mythomane, n’a affirmé avoir eu cette entrevue. A défaut de Ben Soumahoro lui-même, qui peut donc le croire? Le romancier haineux prend dès cette entame, toute la place du penseur objectif dans l’âme enténébrée de Ben Soumahoro. Et d’une.
  2. Deuxièmement, Ben Soumahoro nous raconte sa seule unique rencontre physique avec le Premier Ministre Guillaume Soro à la résidence présidentielle de Laurent Gbagbo. Il y appert que Ben Soumahoro a serré la main du Chef du gouvernement ivoirien d’alors sous la contrainte du Président de la République Laurent Gbagbo. Et Ben Soumahoro de nous raconter son fait d’armes. Une phrase, une seule phrase, qu’il dote des pouvoirs d’une bombe nucléaire: «  Le soleil brille maintenant pour tout le monde, monsieur le Premier Ministre ». Quel succès piteux! La phrase ne dit rien de nouveau. Le soleil a toujours brillé pour les bons comme pour les méchants. Pour les vivants comme pour les morts. Même quand il fait nuit sur notre coin de terre, il fait soleil ailleurs. Et la lumière de la lune elle-même n’est qu’une réfraction de celle du soleil! Mamadou ben Soumahoro croit-il avoir inventé la glace avec sa formule creuse et poreuse? Et pourquoi n’a-t-il pas eu le courage de ne pas serrer la main d’un homme qu’il détestait tant? En véritable fat de cour, pour plaire à Gbagbo, il a serré la main de l’ennemi. Quel lâche! Et dire que c’est un tel poltron, incapable de rentrer du Ghana dans son pays où la justice l’attend, qui se permet de traiter le Père de la Dignité de tous les Ivoiriens, Guillaume Soro, d’opportuniste et de traître! Comment un fuyard invétéré peut-il donner de telles leçons de choses au monde? Aujourd’hui, s’il y a un homme qui doit se désinfecter la main d’avoir salué Ben Soumahoro, je pense que c’est bien le président Guillaume Soro! Ou bien? Car c’est ce même Laurent Gbagbo, qui avait ordonné à Ben Soumahoro de saluer  respectueusement son patron Guillaume Soro, qui a dit ceci de Tienigbanani : c’est mon meilleur premier ministre!
  3. Troisièmement, Ben Soumahoro traite le Président Guillaume Soro d’opportuniste et de traître. Trahison contre la Fesci, trahison contre IB, trahison contre ADO, trahison contre Seydou Diarra premier ministre? Il faut tout simplement rappeler ici à Ben Soumahoro que Guillaume Soro est le premier Secrétaire Général vraiment démocratiquement élu de la FESCI en 1995 et que c’est à lui qu’on doit la ré-émergence politique de ce syndicat sous le régime Bédié, où il fut élu Homme de l’année 1997. Il faut rappeler de fraîche mémoire à Ben Soumahoro que le sergent chef Ibrahim Coulibaly a tenté par plusieurs fois d’assassiner Guillaume Soro avant de tomber au combat à Abobo, d’où il s’apprêtait à lancer son armée de 5000 hommes supposés contre Gbagbo et Ouattara, selon les propres dires documentés d’IB! Il faut rappeler à Waraba, dont la mémoire flanche sans doute sous l’effet de la paresse intellectuelle et de la haine engourdissante, que Guillaume Soro n’a pas succédé à Seydou Elimane Diarra, mais plutôt à Charles Konan Banny à la Primature de Côte d’Ivoire, à l’issue du dialogue direct avec Gbagbo en 2007. Il faut enfin rappeler à Mamadou ben Soumahoro que si Guillaume Soro était un traître et un opportuniste envers lui, le président Alassane Ouattara n’aurait jamais accepté d’en faire son Premier Ministre/Ministre de la Défense des heures chaudes, puis son dauphin constitutionnel à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire! Y a-t-il encore un tantinet de logique dans la ciboule de notre Waraba?  Je crains que non. Sauf quand il reconnaît honteusement: « Soro est le président de l’Assemblée Nationale, c’est-à-dire le successeur constitutionnel du Président de la République, l’héritier putatif. » Et alors, ben Soumahoro, cela ne vous amène-t-il pas à conclure que vous délirez sans doute quand vous voyez un hiatus entre ces deux hommes?
  4. Quatrièmement, Mamadou Ben Soumahoro tente de brosser le portrait d’un Président Guillaume Soro qui serait mégalomane et ivre d’orgueil. Quelles preuves l’illustrent? Encore des on-dit version Ben Soumahoro. Une bribe empruntée aveuglément à l’architecte Pierre Fakhoury lui permet de montrer un GKS pressé prétendument d’entrer au Palais présidentiel. Alors, témoignage contre témoignage: le Guillaume Soro que je connais depuis 1995, soient 20 ans,  est un homme demeuré simple, loyal, courageux face à l’injustice, bon envers tous ceux qui les respectent, également ami du pauvre et du riche s’ils sont vertueux. Si au surplus, Guillaume Soro était pressé d’être président de la république, il aurait candidaté aux élections de 2010 et aux élections de 2015, où son âge, ses grades et qualités lui permettaient en vertu de la loi ivoirienne, de se présenter. Bien au contraire, conscient de l’apport décisif du PRADO à la consolidation de l’Etat de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro s’est placé humblement dans son sillage, dans son ombre, pour servir le pays partout où le devoir l’appellera, intrépidement. Pourquoi Mamadou Ben Soumahoro, qui voulait être président du RDR et président de la république de Côte d’Ivoire, ne peut-il pas avouer que le duo intime ADO-SORO le rend profondément amer parce qu’il consacre la fin de ses rêves démesurés?
  5. Cinquièmement, Mamadou ben Soumahoro se moque de la diplomatie parlementaire enclenchée par Guillaume Soro. L’argument principal ici est que le président de l’Assemblée Nationale, issu de l’université ivoirienne que Mamadou ben Soumahoro méprise au passage, n’aurait pas la moindre idée de ce que représente le Cameroun pour l’Afrique. Nous y reviendrons, nous qui savons bien ce que représente le Cameroun, et mieux que Mamadou ben Soumahoro. Mais avant tout, est-ce vraiment suffisant pour nier que Guillaume Soro a donné au Parlement ivoirien des lettres de noblesse qu’aucun président avant lui ne lui avait données? Vice-président de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie, au cœur de nombreux accords de coopération interparlementaires utiles à la Côte d’Ivoire, pionnier de la communication politico-médiatique africaine, pièce incontournable de l’amélioration de l’image de marque de la Côte d’Ivoire sur tous les continents, Guillaume Soro a-t-il a pâlir de complexes devant ses pairs africains? Et pour en venir au cas du Cameroun, je suis bien placé pour en boucher un coin à Mamadou ben Soumahoro, puisque natif du Cameroun où j’ai étudié jusqu’en Licence, je suis par ailleurs titulaire d’une Maîtrise et d’un DEA de l’Université ivoirienne,  Agrégé de l’université française, Docteur de l’Université  française de Lille 3, époux d’ivoirienne et par conséquent citoyen adoptif de Côte d’Ivoire. J’affirme ici que des Camerounais ont pu, certes,  se tromper sur la crise ivoirienne, en la réduisant tout simplement au différend qui oppose le peuple camerounais à la république française en raison de la répression féroce du mouvement indépendantiste upéciste entre 1948 et 1971 par les armées française et camerounaise associées. Mais il existe aussi des Camerounais – et j’en suis-  qui ont compris que le malheur de la Côte d’Ivoire, ce n’est pas aujourd’hui la France, mais bien au contraire l’idéologie criminelle de l’ivoirité, dont un Mamadou Soumahoro tenta de faire importation au RDR contre le Président Alassane Ouattara!  La leçon d’histoire de Guillaume Soro aux députés camerounais en juin 2014 signifiait simplement ceci: « ne surévaluez pas votre Histoire en méprisant celle des autres. Vos aînés ont combattu contre la colonisation occidentale; nous, en Côte d’Ivoire, nous avons combattu contre un dictateur africain! » L’aptitude à diriger les hommes, qui plus est, ne s’obtient pas à l’Université, mais résulte d’un équilibre des talents et des expériences qu’aucun diplôme ne confère. L’art royal de diriger les hommes n’est pas une affaire de parchemin, mais d’aptitude exceptionnelle, alliant l’intellect, l’imagination et la sensibilité de manière harmonieuse.
  6. Sixièmement, Mamadou ben Soumahoro évoque ce qu’il nomme « la diplomatie divine » du Président Guillaume Soro. Hélas, à lire le paragraphe consacré au dit thème, on ne voit ni la diplomatie, ni Dieu mis en évidence, encore moins ce qu’il reproche au discours rassembleur de Guillaume Soro, partisan de la tolérance et de l’harmonie inter-religieuses. On se demande franchement si le rédacteur du 1er août avait encore sa jugeote intacte au moment d’enclencher cette énième philippique.
  7. Septièmement pour finir sa sale besogne, Mamadou ben Soumahoro nous assène une proposition dogmatique, selon laquelle le Président Guillaume Soro aurait installé « l’esprit de guerre en Côte d’Ivoire ». Risible affirmation! Qui a théorisé l’idéologie discriminatoire de l’ivoirité pour diviser les Ivoiriens et gouverner les uns contre les autres? Qui donc a tenté d’appliquer l’idéologie de l’ivoirité au sein même du RDR, au grand dam des camarades de Djéni Kobina qui se fit traiter de ghanéen et du Président Ouattara qu’on affubla du pseudo de Mossi? Diantre, mais qui a donc perpétré le massacre des Ivoiriens à Yopougon en octobre 2000? Qui a affirmé avec jubilation: « Mille tomberont à ma gauche, dix mille à ma droite, mais moi j’avance »? Qui a fait les Escadrons de la Mort? Qui a abattu des centaines de militants du PDCI et du RDR en mars 2004?  Il faut avoir la mémoire rétrécie de haine pour ignorer que Guillaume Kigbafori Soro, à la tête du MPCI/FN a agi en légitime défense en 2001-2002 contre un régime foncièrement criminel et a rétabli l’équilibre de la dignité au coeur de son pays, condition sine qua non pour l’émergence démocratique et républicaine en cours.

Concluons donc cette analyse: que veut au fond Mamadou ben Soumahoro? Pour s’agiter autant, il doit bien avoir des motifs profonds et inavoués. Nos hypothèses les plus plausibles sont au nombre de trois: 1)  Mamadou ben Soumahoro veut sans doute justifier par ses diatribes mythomaniaques, un exil capricieux et autoproclamé,  mais en réalité sans valeur ni portée politique réelles. Pour bénéficier de la magnanimité des autorités ghanéennes, mais aussi justifier des financements occultes que les caciques du FPI lui versent en exil, il doit mouiller le maillot, notre Waraba.  2) Mamadou ben Soumahoro, en réalité, est une composante de la partie visible des prochains projets de déstabilisation militaire de la Côte d’Ivoire auxquels les Koné Katinan Justin et autres caciques de la Refondation n’ont jamais renoncés. 3) Mamadou ben Soumahoro, par ses pseudo-révélations incontrôlables et incontrôlées, où l’imagination déborde même l’infini des étoiles du ciel, croit pouvoir contribuer à diviser psychologiquement le camp ADO-SORO, afin de tirer profit des dissensions espérées pour revenir en selle avec le FPI radical au coeur du jeu politique ivoirien. Nous sommes donc ici face à un agent de propagande du front exilé des ivoiritaires. Il faut dès lors, au prisme de ses trois motivations probables, le considérer et le traiter comme tel…

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