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Abidjan Des réseaux pour aider les femmes à tromper leurs maris pour tenir au foyer (Suite et fin) lisez

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Abidjan Des réseaux pour aider les femmes à tromper leurs maris pour tenir au foyer

 

nfidélité dans les foyers à Abidjan : Des réseaux pour aider les femmes à tromper leurs maris (Suite et fin)

Embarquée par la force des choses dans la ‘’couverture’’ des escapades extra-conjugales de femmes mariées, celle qui se présente comme Miss Méah sait qu’elle a le pied sur une mine. D’où son refus de s’exprimer à visage découvert. Mais elle non plus n’en demeure pas moins une bombe qui ferait d’énormes dégâts… si elle venait à exploser. Interview.

Miss Méah, c’est un pseudonyme, n’est-ce pas ?

Ça, c’est vous qui le dites et c’est votre droit. Mais c’est aussi mon droit de vous demander de vous en contenter. J’ai accepté de vous parler, mais je vous l’ai dit, je ne veux pas qu’on me reconnaisse, ce n’est pas négociable.

Oui, mais vous n’êtes quand même pas un membre de Boko Haram…

Mais c’est tout comme ! Parce que les affaires de sexe, surtout quand c’est en mode ‘’extra-conjugal’’, avec des femmes de boss et tout, c’est une véritable bombe atomique, hein ! Imaginez, si je devais me dévoiler et citer des tanties qui font ‘’ça’’ et des personnalités sérieusement cocues que je connais à Abidjan ici… ce serait l’explosion, croyez-moi !

Mettons les pieds dans le plat : vous êtes une proxénète…

Quoi ! (Elle fait une moue dubitative : Ndlr). Vous êtes sûr ? Parce qu’à ma connaissance, un proxénète, c’est celui qui gère des prostituées et en retour, ces dernières lui versent un peu de sou, non ? Moi, je ne gère pas de prostituées. Ce sont des tanties responsables, mariées, qui vivent des situations assez difficiles dans leur foyer par rapport à leur vie sexuelle. Donc, elles me demandent un service, leur trouver des mecs pour un petit moment de ‘’détente’’, c’est tout ! Aussi simple…

Et tellement facile que vous êtes aujourd’hui à la tête d’un véritable réseau dit de ‘’femmes libérées’’, n’est-ce pas ?

(Elle sourit en remuant la tête) : Ecoutez, avant tout, sachez que ce n’est pas ça mon job. Moi, j’ai une Maîtrise Appliquée en Histoire depuis 1998. Faute de débouché, je me suis lancée dans la Coiffure. J’ai pu ouvrir un petit salon quelque part à Port-Bouët, j’ai embauché deux jeunes filles qui s’y connaissaient et nous avons commencé à travailler ensemble. En 2002, j’ai ouvert un deuxième salon à Treichville, où j’ai commencé à vendre aussi des mèches. Aujourd’hui, j’ai mon salon quelque part à Cocody. Et puis, depuis le 14 février 2012, j’ai ouvert un restaurant quelque part, à une trentaine de kilomètres d’Abidjan. La coiffure et la restauration, voilà mes principales activités…

En Off, vous évoquiez l’homme qui vous a aidée à ouvrir votre premier salon d’une manière si impersonnelle ! Les choses n’ont pas marché entre vous, c’est cela ?

Oui … Nous nous sommes séparés, mais c’est daté ça ! Avant même que je n’ouvre mon salon de Treichville. Ce sont des choses de la vie hein !…

Des choses de la vie… comme l’infidélité par exemple ?

Quoi ! Non ! C’est moi qui ai arrêté, parce qu’il était marié. C’est vrai, il me l’avait dit et je m’étais engagée en connaissance de cause. Mais après, il a commencé à foutre la m… dans son foyer ! Il voulait faire partir la mère de ses cinq enfants et, ainsi, pouvoir m’amener chez lui. Là, c’était trop fort pour moi. Je ne pouvais pas supporter de détruire le foyer d’une autre pour bâtir le mien.

Quel paradoxe ! Parce que ‘’brancher’’ des tanties à des Etalons comme vous le faites aujourd’hui, n’est pas le genre de pratique qui préserve un foyer…

Bon… Ne faites pas de confusions avec mes convictions personnelles. Vous savez, les femmes qui ont des problèmes dans leur foyer ont souvent besoin de parler, de se confier. Et dans les salons de coiffure, on a souvent tendance à causer beaucoup, à se faire des confidences. C’est ainsi que dans mon salon à Treichville, je me suis retrouvée à écouter des tanties, responsables, mariées et mères de famille, me confier leurs frustrations et blessures intimes par rapport à leur vie conjugale. Là, j’ai commencé à comprendre que le titre de ‘’femme mariée’’ est souvent une couverture tape-à-l’œil qui ne cache pas toujours des rêves roses, il y a des cauchemars en dessous… Et quels cauchemars ! Parce qu’en réalité, ce n’est pas l’homme qui se met la corde au cou dans le mariage, c’est la femme qui se retrouve attachée. Tandis que l’homme, lui, se fait libre et laisse libre cours à ses envies dehors, sans trop craindre les ‘’qu’en dira-t-on’’…

A ce point ?

Oui, monsieur le journaliste, à ce point ! Figurez-vous que tout est parti d’un soir, dans mon salon de Treichville. Alors que j’avais fini avec elle depuis un bon moment, ma dernière cliente, une jolie tantie, responsable dans une grosse société, avec une grosse voiture et tout, s’est mise à causer à n’en pas finir. Il était 20h passées, j’étais fatiguée, mes deux collaboratrices étaient rentrées et il fallait que je rentre aussi à Port-Bouët où j’habitais. Mais la tantie, elle, ne semblait pas pressée de rentrer. Finalement, je lui ai dit : « Tantie, il faut que tu rentres. Sinon, t’es tellement ravissante ce soir que tonton risque de croire que tu t’es faite embarquer par un petit pompier hein ! »… Vous savez ce qu’elle m’a répondu ?

Et qu’a-t-elle répondu ?

(Rire) Vraiment… Elle m’a dit : « Ma petite, si c’est pour ça, t’inquiète ! Où j’en suis en ce moment, moi-même je cherche un bon ‘’petit pompier’’ (un jeune amant : Ndlr), mais bon… Ce n’est pas évident pour moi, tu vois ». Et puis, sur un ton sérieux, elle me dit : « Mais toi, tu peux faire ça pour moi ! Trouve-moi un bon petit pompier qui peut faire mon affaire, tu vois ce que je veux dire… Il me fait un bon boulot, je lui donne son blé et basta ! J’en ai besoin, franchement »… Je vous assure que je n’en croyais pas mes oreilles !

Mais vous avez cru vos narines, en flairant la bonne affaire, n’est-ce pas ?

(Sourire). Franchement, attendez-vous souvent à des incidents désagréables si vous tombez sur des gens qui n’ont pas votre sens de l’humour !… Pour l’histoire, je n’avais pas vraiment pris au sérieux ce qu’avait dit la tantie. Mais, c’est quand le lendemain, elle m’a appelée au téléphone pour me demander si j’avais pensé à ce qu’elle m’avait dit, que j’ai tiqué. Pendant près de trente minutes, elle m’a ouvert son cœur : son mari, un homme d’affaires et politicien très engagé, assez cossu, avec qui elle a eu cinq grands enfants, était devenu son ‘’voisin’’ depuis plus de neuf mois… sans aucun rapport sexuel ! Il paraît que le monsieur avait quelques problèmes avec sa ‘’machinerie’’ qui tournait très mollement. Mais lui, prétend toujours qu’il est fatigué, qu’il a d’autres préoccupations, qu’à son âge, il n’a plus la tête à ça et tout… Bref, la situation était sans issue, la tantie n’en pouvait plus, elle était malheureuse…

A partir de votre expérience, pourquoi, à l’instar de cette tantie, beaucoup d’autres se confient à une entremetteuse pour trouver un ‘’petit pompier’’, au lieu de le faire elles-mêmes ?

D’abord, ce sont des femmes d’un certain âge et d’un certain niveau social. Elles ont un fort charisme. Ce qui ne les rend pas vraiment accessibles, à part quelques rares audacieux. Ensuite, les gens se disent que ce sont des femmes mariées qui, plus est, fréquentent souvent des milieux très limités, qui ne permettent pas beaucoup d’occasion de rencontres. Enfin, pour boucler ma boucle, je vous cite exactement ces paroles d’une tantie qui me sont restées en mémoire : « Quel qu’il soit, un homme, quand il a envie, à défaut d’une copine ou maîtresse, il peut s’attraper une prostituée pour se payer un bon moment. Mais, et nous, les femmes, responsables, mères de famille ? Lorsque nous avons envie, pouvons-nous attraper aussi facilement, un prostitué, jeune et bien fougueux pour nous payer du bon temps ? »

Violente question…

Et, voilà ! En tout cas, sous la pression de la tantie qui me relançait pendant près de deux mois, j’ai fini par contacter un camarade de quartier et je lui ai parlé de l’affaire. Au début, il était un peu réticent. Mais je l’ai supplié d’accepter de rencontrer la tantie’’ pour échanger avec elle et après, il pourra décider de la ‘’gérer’’ ou non. Dieu merci, ça a été… Et ils ont commencé à se ‘’mettre bien’’. Et là, en l’espace de quelques semaines, j’ai vu la tantie se métamorphoser ! La lumière était revenue dans ses yeux, elle avait retrouvé une seconde fraicheur, son air trop sérieux, un peu sévère a disparu ! C’était extraordinaire !

De cette première tantie que vous avez ‘’branchée’’, jusqu’au réseau que vous gérez aujourd’hui, il y a eu du chemin, n’est-ce pas ?

Oui, ce n’est pas faux. Mais ce n’est pas qu’à mon seul niveau. Vous le savez, les hommes sont les plus prompts à tromper leurs femmes ou à en rêver secrètement. C’est dans leur gène ! Mais pour qu’une femme en arrive à penser à ‘’ça’’, ensuite à en rêver, jusqu’à passer à l’acte, c’est un long processus. Mais à la fin, comme on le dit, une femme, c’est aussi un Homme comme les autres ! Donc, vous comprenez que ce n’est pas moi qui ai provoqué le phénomène, je suis plutôt tombée dans un engrenage.

C’est-à-dire ?

Je veux dire que je ne me suis pas levée un matin et décidé de créer un groupe ou un réseau pour aider des femmes à tromper leurs maris, comme vous dites ! En fait, après, ce qui s’est passé, la tantie a été très gentille avec moi. Financièrement parlant. C’est même grâce à elle que j’ai pu déménager pour prendre le salon beaucoup plus grand et complet où je suis aujourd’hui, à Cocody. Donc, avec cette histoire qui nous a rapprochées, je suis devenue un peu la ‘’bonne petite sœur’’ de la tantie. Et c’est comme ça qu’elle m’a suggéré l’idée de lui trouver un autre gars pour une de ses amies. Cette dernière était la deuxième femme d’un boss qui ne venait la voir qu’une fois chaque deux ou trois mois environ. Elle aussi, quelques mois après, m’a amenée, à son tour, une autre tantie… Bref, c’est ainsi que, de bouche à oreille, et de fil en aiguille, je me suis retrouvée avec ce que vous appelez ‘’réseau’’. Mais pour moi, c’est un cercle d’amies, de vraies ‘’tanties’’ avec qui je partage bien plus que des affaires de sexe.

Et cela dure depuis combien de temps ?

Tout a commencé en mars 2007, avec la tantie de Treichville, si j’ai bonne mémoire…

Combien de tanties compte donc votre cercle d’amies à ce jour ?

Ça, je ne saurais le dire. Franchement ! Parce que ça vient, ça part, ça revient, ça repart… En fait, moi, une fois que je fais le ‘’branchement’’, je ne m’occupe plus vraiment de la suite. Je ne suis là que lorsqu’on me le demande. C’est vrai, la plupart des tanties continuent de me faire appel par rapport aux garçonnières… ou quand elles ont besoin d’un nouveau ‘’petit pompier’’. Mais d’autres aussi, après le ‘’branchement’’, continuent leur affaire sans moi. Mais, ce sont mes tanties, ça ne me gêne pas. Maintenant, si c’est pour parler de celles qui font régulièrement appel à mes services, elles sont un peu plus d’une vingtaine environ. Mais ça varie…

Et qui sont, en général, ces tantie ?

En général, elles sont mariées ou vivent en couple, ont des enfants, une bonne situation sociale, professionnelle, une vie de famille enviable… en apparence. Il y en a qui sont seules, veuves, divorcées ou dont les maris sont très souvent absents du foyer. Il y en a qui sont deuxième ou troisième épouse d’un homme souvent aisé, qui ne les ‘’touche’’ qu’une fois chaque trois ou six mois. Et puis, il y en a aussi qui, apparemment n’ont pas de problèmes majeurs, mais qui en ont tout simplement mare de la monotonie qui s’est installée… En tout cas, la plupart de ces femmes sont soit des cadres de sociétés ou de l’administration, ou encore des femmes d’affaires, soit les compagnes de hauts cadres de l’administration, de politiciens, de directeurs de société, de riches hommes d’affaires, de gars du show-biz ou même des footballeurs internationaux…

Et les garçonnières ? C’est aussi une inspiration des tanties ?

Non, c’est moi qui ai eu l’idée. Parce que, comme je l’ai dit, la plupart de ces ‘’tanties’’ ont un niveau social et un nom à préserver. Du coup, ce n’est pas évident pour elles de se pointer souvent dans des hôtels, qu’ils soient cinq étoiles ou pas. Et comme chaque fois, elles me faisaient part de cette difficulté, j’ai eu l’idée de prendre des studios que j’ai équipés pour un maximum de confort, de discrétion et surtout de sécurité… Je leur en ai parlé, elles ont trouvé ça génial et c’est parti ainsi. Aujourd’hui, j’en suis à 2 appartements de deux pièces et 6 grands studios que je mets à leur disposition. Il y a aussi des ‘’Binguistes’’ (personnes vivant en Europe) qui aiment bien prendre ces studios lors de leurs séjours de quelques semaines à Abidjan. Ils préfèrent le côté appartement privé aux hôtels.

Quelles sont vos critères de choix d’une garçonnière et comment rentabilisez-vous ces appartements ?

Le premier critère, ce sont les quartiers : Cocody, le Remblais (Marcory et Koumassi), quartier Maroc (Yopougon)… Ensuite, il y a l’accessibilité par rapports aux voitures et l’environnement sécuritaire autour. Maintenant, pour les appartements, certains quartiers offrent de très beaux cadres avec des maisons basses, mais le nec plus ultra, en matière de discrétion, ce sont les immeubles. Ici, on voit tout le monde monter, mais on ne peut pas savoir vraiment dans quel appartement va telle ou telle autre personne, encore moins, ce qu’elle va y faire. Maintenant, en principe, la ‘’norme’’, c’est la semaine entière que je négocie entre 35 000 et 75 000 FCFA (y compris boissons, eau minéral, bouffe commandée…). Maintenant, il y a des exceptions pour des passades de quelques heures, d’une journée entière ou un VSD (vendredi, samedi, dimanche). Là, aussi, on négocie. J’insiste, tout se négocie, parce qu’avant tout, on est des amies et complices, et rien n’est carré. Je dirais même que c’est toujours les tanties qui décident de ce qu’elles veulent me donner…

Il n’empêche, cela vous assure des fins de mois assez gras sur le dos des vrais propriétaires de ces appartements, n’est-ce pas ?

Franchement, vous avez quand même une drôle de façon de voir les choses, vous ! Sachez que ce sont des appartements que je loue et paie régulièrement entre 75 000 et 100 000 FCFA par mois selon les quartiers.

Maintenant, comment recrutez-vous vos hommes-étalons ?

Au tout début, je fonctionnais par le bouche à oreille. Mais depuis 2010, j’ai commencé à travailler sur Facebook. Je décortique les profils des mecs qui m’intéressent et je leur envoie des invitations « inbox ». Ça marche à 30 ou 40%. Et ensuite, il y a toujours le bouche à oreille qui continue avec les gars qu’on enrôle. De toute façon, c’est une affaire de sexe libre, avec au bout, 50 000 FCFA, voire plus si affinité. Donc, on ne manque pas de clients…

Parlant de Facebook, savez-vous que vos messages « inbox » sont souvent bloqués ou suprimés quelques jours seulement après, pour vérification d’identité ?

Oui, je le sais. Je crois que c’est dû au fait que j’utilise une fausse adresse de pseudonyme. Mais je ne peux pas faire autrement. On ne sait jamais. Mais, les 30 à 40% de messages qui aboutissent ne sont déjà pas mal. La preuve, vous êtes là, avec moi aujourd’hui, non ?

Et existe-il beaucoup de réseaux dans ce genre à Abidjan ?

Bien sûr ! Mais ce sont des groupes informels. Il y en a avec cinq ‘’copines’’, parfois plus, qui assument leur choix et partagent leur goût pour les extras. D’autres même serait dirigés par des hommes si je m’en tiens à des témoignages assez sérieux… Mais, c’est franchement difficiles à cerner, parce que tout part de l’amitié, les groupes (ou réseaux : Ndlr) se mettent en place tous seuls, au fur et à mesure des confidences des unes aux autres.

Vous avez sûrement une anecdote croustillante que vous a confiée une de vos tantie avec son ‘’petit monsieur’’, n’est-ce pas ?

Joker ! (Rire). Je ne négocie pas avec les terroristes !

Bon, et si vous deviez me laisser sur un conseil. Que diriez-vous ?

Je vous dirai : arrêtez de considérer et traiter vos compagnes comme votre ‘’simple’’ épouse et la mère de vos enfants. Arrêtez de vous contenter de ne lui faire que l’amour !…

Je ne vous comprends pas…

Je veux dire, à la maison, les hommes ont cette énervante tendance à ne faire que l’amour à leur femme. Rien que ça ! Sous le prétexte que c’est leur épouse, la mère de leurs enfants, ces messieurs font dans le sérieux, évitent soigneusement d’être libertins, ‘’vicieux’’ et ‘’pervers’’ comme ils le font à cœur-joie dehors. C’est une grosse erreur, quittez dans ça ! Parce que, même au foyer, avec des enfants et tout, votre épouse est et reste avant et après tout, une femme pleine. C’est-à-dire qui rêve, attend et apprécie aussi tous ces gâteries que vous vous permettez dehors avec vos copines qui en profitent à fond, en plus de vous ruiner physiquement et financièrement !

Ça, c’est vous qui le dites…

Oui, mais, je sais de quoi je parle ! D’abord, parce que je suis moi-même une femme. Ensuite, parce que ce que vous appelez mon ‘’réseau’’ me permet de causer beaucoup avec des tanties qui ont des situations fort enviables, mais qui se sentent si mal dans leurs belles maisons. Enfin, j’insiste sur ce que je dis, parce que dans les ‘’affairages’’ qu’elles me font très souvent après le rendez-vous avec leur ‘’petit monsieur’’, je vous assure, c’est toujours l’absence ou la présence de ce côté un peu ‘’vicieux’’, un peu ‘’pervers’’ du gars qui les marque… toutes ! Sans une seule exception ! Et quand je dis ‘’marquer’’, c’est en terme d’appréciation, de satisfaction profonde qu’elles ne regrettent pas, de cet arrière goût de ‘’revenez-y’’ qui les métamorphose complètement !

Êtes-vous mariée ?

Nouveau Joker ! Je ne réponds pas aux provocations ! (Rires).

Cliquer ici pour lire la première partie

Réalisée par Améday KWACEE

SOIR InFO

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