04272024Headline:

Yopougon: Encore des microbes attaquent un hôtel et violent trois jeunes filles

gang microbe

Décidément, ils s’attaquent désormais à tout, après les lieux de cultes. Desmicrobes  ont attaqué dans la nuit de jeudi à vendredi un hôtel dans la commune deYopougon où ils auraient également violé trois jeunes filles.

Armés de machettes et de couteaux, ces adolescents qui sèment la terreur à Abidjan, capitale économique ivoirienne auraient fait irruption dans l’hôtel aux environs d’une heure du matin et ont maîtrisé le gérant de l’établissement avant de délester tous les clients du jour de leurs biens, argent, portables et objets de valeur.

Au nombre de six, lesmicrobes  sous la menace de leurs armes blanches auraient abusé de trois jeunes filles qui se trouvaient dans l’hôtel sans leur consentement.

Après leurs forfait, ils se sont évanouis dans la nature sans être inquiétés.

Pour échapper aux microbes, un homme saute dans un égout

Vendredi soir en revenant du travail,  un homme a eu le malheur de croiser la route des microbes, heureusement il a eu l’idée et l’audace de sauter dans un égout pour avoir la vie sauve. Les faits se sont passés dans le quartier avocatier de la commune d’Abobo.

Face à la bande armée desmicrobes qui ne fait pas de quartier sur son passage, vaut mieux utiliser tous les moyens, même  les plus osés pour s’échapper. Ces malfaiteurs ont pris la mauvaise habitude de massacrer leurs victimes après les avoir dépouillés.

Sûrement c’est en épousant cette idée, que vendredi soir aux environs de 22heures,  un homme qui tentait de regagner le gîte familial n’a pas trouvé mieux que de sauter dans le conduit  par où s’écoulent les eaux de pluies et les immondices pour se cacher. Lesmicrobes  étaient une trentaine à la prendre en chasse et, comme à l’accoutumée ils étaient armés de machettes et couteaux. Ils s’étaient cachés dans un coin à l’abri de la lumière pour faire le guet-apens.

En criant à l’aide à tue-tête au fond de l’égout où il avait trouvé refuge,  l’individu réussira à attirer l’attention des habitants. Lesmicrobes  ont alors vite fait de renoncer.

Vendredi Abidjan, par la voix du directeur de la police, indiquait malgré la flagrance et la lourdeur des faits que le phénomène desmicrobes n’était qu’une “rumeur”.

Wassimagnon et Adriel, Abidjan

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